La santé cérébrale féminine et la santé financière – la connexion importante

Perspectives

Comment une compréhension améliorée des enjeux cognitifs associés à l’âge peut influer positivement sur la sécurité financière.

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La santé cognitive et les conditions cérébrales associées à l’âge sont des sujets qui ont attiré toujours plus d’attention dans divers champs de recherche au cours des dernières décennies. Il n’y a aucun doute que les progrès significatifs réalisés dans nos connaissances à cet égard ont aidé à sensibiliser les Canadiens et Canadiennes aux enjeux de santé mentale et de vieillissement cérébral. Bien que ces développements ont été généralement positifs, en ce que les enjeux de santé cognitive sont mieux compris et davantage discutés, il n’en demeure pas moins, malheureusement, que les femmes ont été plutôt ignorées du point de vue de la recherche. Bien qu’il existe des différences fondamentales entre le cerveau des hommes et celui des femmes, la recherche n’a majoritairement porté que sur celui des hommes. En effet, ça n’est que tout récemment — grâce à des initiatives et des organisations comme la Women’s Brain Health Initiative (WBHI) — que des biais dans la recherche et le choix d’examiner séparément des enjeux cérébraux chez les femmes versus ces mêmes enjeux chez les hommes ont commencé à avoir lieu.

Cette réalité pourrait en surprendre plusieurs, puisque les femmes sont bien plus enclines à succomber à des maladies et des conditions associées au vieillissement cérébral. En fait, deux fois plus de femmes que d’hommes succombent à la dépression et la démence, et de tous les nouveaux diagnostics d’Alzheimer, 70 pour cent seront des femmes.1 Des statistiques comme celles-ci ont de quoi surprendre et motivent grandement la WBHI et ses commanditaires et partenaires comme RBC Gestion de patrimoine (RBC GP). En s’employant à faire reconnaître la nécessité d’égaliser les études scientifiques et en se servant de programmes éducatifs comme moyen, on espère développer une meilleure compréhension chez les femmes de leur santé cérébrale, les autonomiser en leur offrant les outils pour effectuer des changements positifs dans leur vie, associer la santé cérébrale au bien-être financier et, ce faisant, faire valoir l’importance d’une planification à cet égard.

Women’s Brain Health Initiative

Lancée en 2012, la Women’s Brain Health Initiative (WBHI) est un organisme de bienfaisance canadien voué à la mise en place de programmes éducatifs et de recherche pour contrer les conditions de vieillissement cérébral qui affectent les femmes, en plus d’être la ressource la plus importante en matière d’information spécifique à la santé cérébrale des femmes. Lynn Posluns, fondatrice et présidente de la WBHI, retire beaucoup de fierté de savoir que des mesures positives sont déployées pour étudier et promouvoir la santé cérébrale des femmes grâce à des organisations comme la sienne. « J’ai lancé la Women’s Brain Health Initiative avec deux mandats à l’esprit : augmenter et financer la recherche sur les maladies du vieillissement cérébral chez les femmes ainsi qu’améliorer l’éducation et la sensibilisation à ces enjeux, et aider les femmes à conserver leur santé cérébrale pendant plus longtemps, » explique madame Posluns.

Historiquement, la santé cérébrale n’était pas un terme qu’on associait beaucoup avec les femmes. En effet, les Canadiens et Canadiennes étaient plutôt familiers avec la dimension plus universelle de la santé mentale, et ce, tant au niveau individuel qu’institutionnel. Aux débuts de la WBHI, cela présentait un défi pour madame Posluns alors qu’elle tentait d’obtenir des appuis et de faire valoir l’importance de se pencher sur la santé cérébrale tant du point de vue féminin que masculin. Une fois qu’elle a réussi à faire valoir ses arguments, grâce à des commanditaires tels que RBC GP, qui mentionne-t-elle « a été à l’avant-garde pour ce qui est de reconnaître qu’il s’agissait d’un enjeu pour les femmes et qu’il était temps de clamer haut et fort que cet enjeu était important, » l’organisme de bienfaisance a connu un essor encore plus rapide et important qu’elle ne l’avait anticipé.

Au cours des années, la WBHI a forgé des alliances avec des communautés scientifiques et médicales au Canada et à l’étranger, et celles-ci se sont avérées très avantageuses pour ce qui est de faire avancer la composante recherche. Par exemple, la WBHI fait partie du Consortium canadien en neurodégénérescence associée au vieillissement (CCNV), qui comprend quelque 340 chercheurs partout au Canada et au sein duquel le sexe est maintenant considéré dans la pratique de la recherche. Des mouvements comme celui-ci sont très positifs pour la WBHI, étant donné que les efforts de l’organisation ont influencé les orientations des études scientifiques et ont fourni plus d’occasions d’investir dans la recherche pour trouver des réponses pour demain. Pour réaliser son mandat et ses engagements éducatifs, la WBHI a recours à plusieurs canaux pour toucher les gens et partager de l’information précieuse, incluant une panoplie d’événements pour les membres, clients et employés des commanditaires ainsi que le grand public. Elle publie également un magazine annuel, Mind Over Matter®, en distribue plus de 100 000 exemplaires partout au Canada, et partage toute une variété d’information, allant des conseils et des recettes jusqu’à de la recherche et des articles de la communauté médicale par l’entremise de son groupe de réflexion « Think Tank » en ligne.

Madame Posluns est très fière du succès de la WBHI au Canada et plus récemment aux États-Unis et mondialement, et elle a confiance que cette croissance est un gage de succès à venir. « Je n’aurais jamais imaginé ce genre d’expansion il y a cinq ans de cela, mais il est devenu apparent que plus nous en faisions collectivement, plus nos efforts en recherche et en éducation s’intensifieraient » mentionne-t-elle. « Les gens, aussi bien les hommes que les femmes, ont besoin de savoir qu’ils sont habiletés à effectuer des changements positifs dans leurs habitudes de vie, qu’ils peuvent exercer plus de contrôle sur leur destinée cognitive qu’ils ne le réalisent, et qu’en travaillant ensemble pour une représentation égalitaire en termes de recherche et d’études scientifiques, nous pourrions être témoins de nouvelles politiques et approches, et de nouveaux traitements potentiels pour la santé cérébrale des femmes qui pourraient changer leur vie. »

Women's Brain Health Initiative Logo

Pour plus d’information sur la Women’s Brain Health Initiative, veuillez visiter www.womensbrainhealth.org.

L’engagement de RBC GP envers la cause

En qualité de commanditaire engagé, RBC GP comprend l’importance d’aider davantage la WBHI aussi bien dans sa mission de recherche que dans sa mission éducative. Grâce à l’appui et  l’assistance d’organisations comme RBC GP, la WBHI est en mesure de prendre de l’expansion et de connaître du succès avec les initiatives qu’elle met de l’avant, l’aidant ultimement à toucher et à éduquer plus de femmes de tous les groupes d’âge. Comme madame Posluns l’a mentionné à plusieurs reprises, « RBC GP reconnaît avec force l’intérêt d’une telle éducation pour toutes les générations de femmes et la valeur d’associer la recherche à l’éducation, et ce, tant du point de vue préventif qu’à titre de sensibilisation. »

Une des principales initiatives dans laquelle RBC GP s’est impliquée est le développement et le lancement de Millennial Minds™, un programme d’affiliation dédié du Young Person’s Cabinet de la WBHI pour l’éducation et l’autonomisation de jeunes. Ce programme vise à aider les personnes âgées de moins de 40 ans à comprendre l’importance de prendre soin de leur santé cérébrale dès maintenant et RBC GP est fière d’avoir joué un rôle déterminant par son appui à la création d’événements de réseautage et éducatifs à même ce programme pour milléniaux.

Prioriser la planification chez les milléniaux

Afin de souligner davantage ce partenariat entre RBC GP et la WBHI, cette édition de Perspectives comprend aussi un article avec des conseils et des stratégies spécifiques pour les milléniaux concernant leur planification financière. 

Mobiliser les milléniaux autour de la santé cérébrale

Se pencher sur la santé cérébrale, non seulement pour les femmes qui prennent de l’âge mais aussi pour aider de façon proactive les femmes plus jeunes à effectuer des changements positifs dans leurs habitudes de vie, offre une valeur transférable dans tous les aspects de la vie, que ce soit aux plans personnel, familial, professionnel, social, financier ou autre. Les chercheurs commencent maintenant à comprendre qu’au moment où les symptômes de démence ou d’autres conditions cérébrales associées à l’âge font leur apparition, que les dommages sont survenus plusieurs décennies auparavant. Par conséquent, plus tôt les personnes commenceront à prioriser leur santé cérébrale, plus grande sera leur probabilité de diminuer leurs facteurs de risques. Et c’est d’ailleurs pourquoi la WBHI ne ménage aucun effort pour sensibiliser tout un chacun à cette réalité et à renseigner les jeunes sur les aspects scientifiques de la question par l’entremise de programmes comme Millennial Minds™.

Six mesures pour protéger la santé cérébrale

Associer santé cérébrale et santé financière

Étant donné la preuve statistique existante concernant les enjeux liés au vieillissement et à la santé cérébrale des femmes, celles-ci se doivent de reconnaître ces réalités cognitives et de travailler à maintenir la santé de leur cerveau, des facteurs cruciaux pour gérer au mieux leur santé financière actuelle et future. Afin que les femmes l’appliquent de manière proactive et efficacement dans leur vie, l’approche doit se faire à deux niveaux. D’abord, il leur faut reconnaître que parce que la recherche indique que plusieurs facteurs de risques sont modifiables, elles ne doivent ménager aucun effort pour assurer, dans la mesure du possible, leur santé cognitive et combattre tout problème de santé cérébrale associé à leur âge. Puis, d’un point de vue financier, il s’agit de reconnaître et d’accepter que leur déclin cognitif puisse être un facteur potentiel à la retraite et pourrait avoir des répercussions sur leur existence et bien-être financier. Ce faisant, il est impératif de se pencher sur cet aspect de la planification et de mettre en place les structures et stratégies appropriées pour satisfaire et gérer efficacement leurs besoins éventuels.

L’importance de la planification pour les femmes

Particulièrement dans le domaine de la planification de patrimoine, une prise de conscience accrue des enjeux de santé cérébrale au fur et à mesure que les femmes vieillissent peut s’avérer un catalyseur important pour prendre des décisions informées quant à leurs besoins et objectifs financiers, successoraux et de retraite. Leanne Kaufman, chef de RBC Trust Royal, a eu l’occasion à maintes reprises de s’exprimer lors d’événements destinés aux clients et organisés en collaboration avec la WBHI et a été témoin de l’impact positif de l’éducation et du partage d’information lorsqu’il s’agissait de convaincre les femmes à planifier leur santé financière, maintenant et dans le futur. « En tant que femmes, il est excessivement important de reconnaître que statistiquement parlant, il viendra un moment où nous serons physiquement mais non mentalement capables de protéger notre santé financière, de s’assurer que nos souhaits et nos intentions seront respectés, et de choisir les soins et le style de vie que nous voudrons pour nous-mêmes dans notre vieil âge. En tant que société, nous avons quelque peu ignoré cette éventualité, et ce, autant chez les hommes que chez les femmes, » d’expliquer madame Kaufman. Étant donné le vieillissement de la population canadienne, le moment est maintenant venu de planifier en conséquence pour cette éventualité.

« Les femmes doivent aussi être conscientes du fait que, statistiquement parlant, il y a de fortes chances qu’à un moment donné de leur vie, elles auront à assumer les responsabilités et le fardeau financiers de leur ménage, » de noter madame Kaufman. Ceci étant, et combiné aux réalités des enjeux associés au vieillissement cérébral qui affecte les femmes, s’assurer que ses affaires financières et successorales sont en règle revêt une importance encore plus grande.

Considérations associées à l’âge chez les femmes

Les statistiques canadiennes révèlent que l’espérance de vie générale continue d’être à la hausse et que les femmes survivent aux hommes d’environ quatre ans.2 Toutefois, une mise en garde s’impose ici en ce que ces années pour plusieurs femmes ne sont pas nécessairement des années vécues en santé, comme plusieurs connaîtront au cours de ces années des défis associés à leur déclin cognitif (ou déclin physique ou une combinaison des deux). D’un point de vue financier et successoral, cette situation justifie l’importance cruciale qu’il y a à prendre ces décisions aussi tôt que possible.

Madame Kaufman recommande que les femmes réfléchissent attentivement à la manière dont elles veulent vivre dans leur vieil âge, plus particulièrement à la retraite ou après un événement significatif. « Pour plusieurs, il s’agira de faire une distinction entre ce qu’elles veulent et ce dont elles pourront avoir besoin, »  ajoute-t-elle. Bien que la préparation d’une liste de projets de voyages, de loisirs, de sports, de cadeaux aux enfants et petits-enfants, et d’objectifs philanthropiques soit une composante importante de ce processus, tous ces désirs devront être soigneusement soupesés en fonction des besoins réels et éventuels qui pourront se manifester dans leur futur. Malheureusement, plusieurs personnes et plusieurs familles consacrent peu de temps à investiguer quels pourrait être leur coût fondamental de la vie, incluant leurs dépenses d’habitation, de soins de santé, d’assistance et de soins de longue durée, en sus de leurs dépenses de base à la retraite et de leurs désirs et exigences en matière de mode de vie. De plus, si les personnes négligeaient ces déclins cognitifs ou ces maladies cérébrales associées au vieillissement en tant que facteurs à considérer, cela pourrait laisser la porte grande ouverte à de futurs stress financiers, émotionnels et familiaux.

Pour plus de détails sur les coûts croissants des soins de santé et comment planifier en fonction de ceux-ci, veuillez consulter « Le paysage changeant des soins de santé au Canada » dans l’édition de l’automne 2016 de Perspectives.

Aborder des sujets difficiles

Bien qu’il s’agisse d’un sujet qu’une majorité de personnes préféreraient ignorer et que plusieurs présument qu’ils ne pourront jamais en être victimes, la triste réalité est que les cas d’abus financiers commis à l’endroit des aînés sont à la hausse au Canada. En fait, dans un rapport daté de 2015 de l’Initiative nationale pour le soin des personnes âgées (INSPA), il est mentionné qu’environ 250 000 Canadiens et Canadiennes plus âgés ont été victimes d’abus financiers et que les principaux auteurs de ces méfaits étaient des enfants ou petits-enfants adultes, des conjoints ou ex-conjoints ou la fratrie des victimes.3 D’autres études démontrent qu’un état de vulnérabilité financière peut se manifester avant même les premiers symptômes ou un diagnostic de condition cognitive associée au vieillissement, ce qui justifie encore une fois l’importance d’être proactifs en matière de planification.4

Quelques exemples d’abus financiers les plus courants réfèrent à l’utilisation inappropriée d’une procuration, d’un mandat de protection ou de comptes conjoints, le vol, des cadeaux involontaires, une pression indue pour signer des documents, l’omission de rembourser une dette, le fait de partager une résidence avec un(e) aîné(e) et de ne pas partager également les dépenses ou un mariage à des fins illicites. Bien que la seule idée de ces exemples puisse être déconcertante ou troublante pour certains, le point principal à reconnaître ici est qu’une planification appropriée est un des meilleurs moyens de diminuer ou d’éliminer la probabilité que survienne une de ces situations et de s’assurer qu’une personne est protégée financièrement.

La force d’une planification

Qu’il s’agisse de considérations spécifiques pour les femmes eu égard à la santé cérébrale ou des maladies associées au vieillissement, ou pour la population en général peu importe le sexe ou l’âge, la valeur de certains aspects de la planification, de même que la nécessité de travailler avec des professionnels en planification successorale et fiscale faisant partie d’une équipe de conseillers professionnels aux diverses expertises ne peut être minimisée. Deux éléments majeurs qui doivent être bien compris et priorisés en plus de s’assurer d’avoir un testament valide et à jour sont la procuration/le mandat de protection et les fiducies.

Procuration / mandat de protection

Planifier pour une éventuelle inaptitude est une mesure que tous devraient mettre en place et choisir la procuration /le mandat de protection approprié est une façon de s’assurer que ses intérêts supérieurs et ses intentions seront respectés. Toujours selon madame Kaufman, « Plusieurs personnes se dotent d’un testament et d’une procuration/d’un mandat de protection, mais peu accordent toute l’attention voulue à la personne désignée, les incidences d’une telle désignation et les attentes vis-à-vis de cette personne. » Choisir le bon mandataire doit inclure des considérations telles que l’acuité financière, la capacité à voyager, l’âge et l’étape de vie, les compétences organisationnelles, le degré d’impartialité, la capacité à maintenir un climat harmonieux au sein de la famille et une connaissance des responsabilités assumées. Étant donné les exigences de ce rôle et afin de s’assurer de sa protection financière advenant son inaptitude, une option intéressante est d’envisager le recours aux services d’une tierce partie, tels que ceux offerts par RBC Trust Royal.

« Dans le cadre de nos solutions en cas d’inaptitude, nous pouvons prêter assistance d’une de deux façons — nous pouvons agir comme mandataire pour gérer les actifs d’une personne inapte ou nous pouvons conseiller ces personnes désignées de mandataire en accomplissant toutes ou certaines des tâches administratives qui leur incombent, » d’expliquer madame Kaufman. Grâce à une équipe de professionnels et avec la structure appropriée en place, ces services offrent aux clients l’assurance de faire face avec succès à toute situation d’inaptitude de même qu’une méthode de protection fort efficace.

Fiducies

Dépendamment des situations individuelles, les fiducies peuvent s’avérer une option intéressante à considérer étant donné la protection potentielle qu’elles offrent. En effet, elles permettent généralement à leurs constituants de transférer des actifs tout en maintenant le contrôle sur leur utilisation par l’entremise d’un fiduciaire. Par conséquent, lorsque la vulnérabilité financière, un stress familial ou un abus financier associés à l’âge deviennent une préoccupation ou plus simplement une considération générale, les fiducies peuvent agir comme un moyen très efficace de protéger ses actifs. À l’instar de la procuration/mandat de protection, choisir un fiduciaire nécessite la même attention et, ici encore, certaines personnes pourraient trouver avantageux d’avoir recours aux services d’une tierce partie. En matière de fiducies, RBC Trust Royal offre des services de constitution et d’administration de fiducies, en vertu desquels elle peut agir comme seul fiduciaire, cofiduciaire ou fiduciaire remplaçant, en plus de proposer toute une panoplie de services de soutien aux fiduciaires désignés.

Pour plus d’information sur RBC Trust Royal, veuillez visiter le site.

Bien que la santé du cerveau soit une préoccupation de plus en plus manifeste au sein de la population canadienne, des progrès demeurent à réaliser, particulièrement en ce qui concerne les femmes et comment les enjeux et les réalités auxquels elles font face ont des incidences sur leur santé et leur sécurité financière. En s’impliquant dans la recherche, en comprenant les facteurs de risques, en faisant en sorte qu’on prenne davantage conscience de la relation entre santé cérébrale et santé financière, puis en se dotant d’une planification de patrimoine informée, les gens seront en mesure de prendre des décisions efficaces pour protéger leur futur personnel et professionnel, et ce, tant au plan émotionnel que financier.


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