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Opinion éclairée – La force de la convergence

Combinant la puissance de l’homme et de la machine, les placements quantitatifs offrent des solutions innovatrices aux investisseurs.

L’émission Opinion éclairée, animée par Stu Morrow, stratégiste en chef, Placements, RBC PH&N Services-conseils en placements, est une série d’enregistrements audio visant à tenir les clients informés des opinions éclairées des chefs de file et spécialistes de la principale société de gestion de patrimoine la plus importante du Canada.

Hôtes de l‘épisode : Jaco Van der Walt : vice-président et chef mondial, Placements quantitatifs, RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA) et Norm So : premier gestionnaire de portefeuille, Placements quantitatifs, RBC GMA

Dans cet épisode d’Opinion éclairée, Stu Morrow accueille Jaco Van der Walt, vice-président et chef mondial, Placements quantitatifs, RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA), et Norman So, premier gestionnaire de portefeuille, Placements quantitatifs, RBC GMA. Au cours de l’entretien, M. Morrow et ses invités traitent des sujets suivants : l’utilité de l’analyse quantitative fondée sur des données pour les investisseurs ; le rôle complémentaire des solutions fondées sur l’analyse quantitative par rapport aux solutions fondées sur l’analyse fondamentale ; les innovations dans le domaine des placements quantitatifs ; et les stratégies, dont des fonds à faible volatilité, que gèrent MM. Van der Walt et So. De façon concise et limpide, les deux invités fournissent des renseignements d’un grand intérêt et des conseils utiles sur cette importante méthode de placement.

M. Van der Walt dirige les équipes de gestion de portefeuille et de recherche de RBC GMA. Il supervise aussi l’équipe des systèmes quantitatifs. Il siège également au Comité des stratégies de placement RBC. Il occupait auparavant un poste de direction au sein de l’une des principales sociétés de services financiers d’Afrique du Sud, dont il dirigeait l’établissement de gestion des placements situé dans ce pays.

M. So a commencé à travailler à PH&N en 2004. Il faisait partie du groupe Recherche quantitative de RBC GMA, au sein duquel il contribuait au développement des ressources quantitatives et des initiatives de recherche. Il s’est joint à l’équipe Placements quantitatifs de RBC en 2011. M. So est le gestionnaire principal de portefeuille des fonds d’actions à faible volatilité QUBE RBC.

Transcription

Stu Morrow :

Bonjour et bienvenue à Opinion éclairée.

Au début de ma carrière d’analyste, Actions à RBC Gestion mondiale d’actifs, j’ai été initié aux méthodes rigoureuses et aux pratiques de placement quantitatif utilisées dans l’ensemble de la société. Nous avons rapidement appris qu’en jumelant les placements quantitatifs avec une analyse fondamentale traditionnelle des actions, nous pouvions obtenir de meilleurs résultats de placement au cours d’un cycle de marché.

L’analyse fondamentale consiste essentiellement à déterminer si une action représente un bon achat en analysant les aspects fondamentaux d’une société. Le potentiel de croissance de la société, sa position dans l’industrie à laquelle elle appartient, sa rentabilité, sa valorisation et la compétence de son équipe de direction font tous partie des aspects fondamentaux. Les spécialistes de l’analyse fondamentale utilisent souvent leur jugement pour mener ces évaluations.

Dans leur forme la plus pure, les placements quantitatifs résultent d’une démarche systématique de placement en actions fondée sur un grand nombre de données pour élaborer une gamme de portefeuilles. Le processus habituel consiste à examiner les données afin de déterminer quels sont les facteurs qui amènent l’action à surclasser l’ensemble du marché ou un indice de référence précis. Contrairement à l’analyse fondamentale, les placements quantitatifs ne demandent pas à un analyste d’avoir recours à son jugement au quotidien. Les modèles ne ressentent aucune émotion. C’est justement ce qui rend les placements quantitatifs attrayants pour certains.

Mes deux invités spéciaux sont ici aujourd’hui pour discuter des placements quantitatifs, de leur rôle dans les portefeuilles et de la façon dont la combinaison des placements fondamentaux et quantitatifs peut accroître les rendements.

Mon premier invité, Jaco Van der Walt, est vice-président et chef mondial, Placements quantitatifs, à RBC Gestion mondiale d’actifs. M.Van der Walt dirige les équipes de gestion de portefeuille et de recherche. Il supervise aussi l’équipe des systèmes quantitatifs. Il se passionne pour l’innovation aux fins de l’excellence en placement et considère que ces outils sont essentiels à l’atteinte des objectifs de placement. Il siège également au Comité des stratégies de placement RBC. Il occupait auparavant un poste à la direction de l’une des principales sociétés de services financiers d’Afrique du Sud, dont il dirigeait le bureau de gestion des placements.

Mon deuxième invité, Norman So, est premier gestionnaire de portefeuille, Placements quantitatifs, à RBC Gestion mondiale d’actifs. M.So a commencé à travailler à PH&N en 2004. Il faisait partie du groupe Recherche quantitative, au sein duquel il contribuait au développement des ressources quantitatives et des initiatives de recherche. Il s’est joint à l’équipe Placements quantitatifs de RBC en 2011. M.So est le gestionnaire principal de portefeuille des fonds à faible volatilité QUBE RBC, qui font partie des autres stratégies quantitatives sur actions.

Messieurs, bienvenue à Opinion éclairée.

Jaco Van der Walt :

Merci, Stu.

Norman So :

Merci.

Stu Morrow :

Ravi de vous recevoir!

Jaco, je commencerais par vous. Dans mon introduction, j’ai présenté un aperçu plutôt bref des placements quantitatifs.

Alors, dites-nous quels sont les avantages d’une approche axée sur les placements quantitatifs selon vous?

Jaco Van der Walt :

Stu, votre résumé explique bien de quoi il s’agit. Tout comme pour les placements fondamentaux, notre raisonnement repose sur des aspects fondamentaux solides, comme la rentabilité, la qualité, etc. Ce qui distingue ce concept, c’est que notre raisonnement prend la forme de modèles quantitatifs qui sont testés et fonctionnent à partir de données,

ce qui présente plusieurs avantages.

Premièrement, cette façon de faire permet de combiner les forces de l’humain et de la machine dans notre processus de placement. Les machines sont beaucoup plus efficaces pour traiter des ensembles de données volumineux et effectuer une multitude de calculs, tandis que l’humain excelle à concevoir et à orienter les processus. Ainsi, nous sommes doublement avantagés.

Deuxièmement, l’exploitation de données rend notre processus empirique. Elle nous permet de mettre nos idées à l’essai et d’en retenir selon les données réelles et les mesures quantitatives, ce qui rend le processus plus objectif et rigoureux.

Troisièmement, en transposant notre processus de placement en modèles quantitatifs, nous pouvons faire abstraction de toute émotion et rendre notre approche systématique. Cette méthode permet d’éviter les pièges comportementaux et tout jugement inutile.

Elle nous permet aussi de concevoir les portefeuilles les plus prometteurs en faisant le tri parmi des milliers de titres. Elle élargit donc nos possibilités et nous permet de diversifier les placements tout en évitant les risques liés aux titres. Nous pouvons ainsi nous concentrer sur les moteurs de rendement systématiques à long terme, comme le faible niveau de volatilité.

Pour toutes ces raisons, Stu, nous pensons que les stratégies quantitatives complètent bien les stratégies fondamentales et les solutions clients. Elles reposent sur divers processus de placement et différentes sources de rendement pour créer de la valeur.

Stu Morrow :

Très intéressant! Merci, Jaco. Voilà qui complète bien le panorama.

Je me demandais... comme les placements quantitatifs évoluent à un rythme rapide, à quoi vous et votre équipe vous consacrez-vous lors d’une journée typique? Sur quoi mettez-vous principalement vos efforts?

Jaco Van der Walt :

Vous avez raison, Stu. L’explosion des données et de la puissance informatique a rapidement joué en faveur des investisseurs quantitatifs. Il n’en demeure pas moins qu’il est essentiel d’innover constamment.

Pour nous, les critères ESG font partie intégrante des domaines d’innovation sur lesquels nous concentrons nos efforts. Étant donné que les investisseurs se préoccupent davantage des questions environnementales, sociales et de gouvernance et que de plus en plus de données ESG deviennent disponibles, il se peut que les risques propres aux titres présentant de mauvaises caractéristiques ESG s’accroissent, mais que le rendement de ceux qui présentent de solides caractéristiques ESG augmente.

C’est pourquoi nous avons intégré les critères ESG à toutes nos stratégies. Notre approche actuelle vise à réduire les risques associés aux critères ESG de façon à limiter l’incidence sur notre proposition de valeur.

En ce qui concerne les titres, nous excluons ceux dont la cote ESG est très faible et, sur le plan des portefeuilles, nous imposons également une contrainte pour nous assurer que nos positions ESG sont équivalentes ou supérieures à celles de l’indice de référence. Nous pouvons ainsi mieux gérer les risques associés aux critères ESG et limiter l’incidence sur nos rendements ajustés au risque.

Certains ont réussi à choisir les meilleurs titres ESG pour des portefeuilles concentrés, mais il existe encore très peu de données empiriques sur l’alpha à long terme des critères ESG pour un vaste ensemble de placements. Les résultats des dernières années, surtout ceux de l’Europe, sont très encourageants. Nous continuerons à modifier notre cadre à mesure que de nouvelles informations et données seront disponibles.

Le domaine des actifs incorporels, plus précisément en matière de recherche sur l’alpha, qui est toujours importante à nos yeux, a également été source d’innovation pour nous. Ces actifs comprennent notamment les brevets, les marques descriptives et les logiciels. Bien que l’utilisation d’actifs incorporels ait connu une croissance considérable au cours des dernières années, il arrive souvent qu’ils ne soient pas comptabilisés dans le bilan, ce qui donne lieu à des estimations biaisées pour de nombreux ratios financiers.

Nous avons intégré des actifs incorporels dans nos modèles en calculant une approximation fondée sur les dépenses en recherche et en développement ainsi que sur les frais de vente, généraux et administratifs. Selon nos recherches, l’inclusion de ces actifs incorporels a rendu plus efficaces plusieurs signaux que nous utilisons dans nos facteurs de rentabilité et de valeur, ce qui a renforcé notre capacité à ajouter de la valeur pour nos clients.

Stu Morrow :

Quel travail fascinant et intéressant! Ce domaine évolue tellement vite, et je suis très, très intéressé d’en savoir plus sur la façon dont vous utilisez les critères ESG pour minimiser les risques et les intégrer au processus. C’est très important et prioritaire pour nos clients. Merci pour ce tour d’horizon.

Norm, pouvez-vous donner à nos clients un aperçu de la série de fonds à faible volatilité QUBE RBC que vous gérez? Je les ai mentionnés lorsque je vous ai présenté, mais vous pourriez en parler plus en détail.

Norman So :

Bonjour, Stu. Contrairement aux théories financières classiques, des études universitaires ont révélé que les titres à faible risque ont tendance à avoir un rendement supérieur à celui des titres à haut risque.

Dans ces études, le risque est souvent défini de deux façons différentes. La première définition repose sur le bêta par rapport au marché, plus précisément sur la sensibilité d’une action aux fluctuations du marché.

La deuxième porte sur la volatilité historique du cours des actions. Cette anomalie observée, à savoir le fait que les titres à faible risque surpassent ceux dont le risque est plus élevé, s’explique souvent par les biais comportementaux des investisseurs. Comme vous l’avez mentionné plus tôt, Stu, notre approche quantitative est utilisée pour obtenir systématiquement cet effet.

Nos fonds sont des fonds d’actions pleinement investis sans instruments dérivés. Nous les concevons selon un processus d’optimisation numérique en deux étapes qui met l’accent sur un portefeuille à faible bêta et à faible risque absolu, tout en privilégiant les titres de haute qualité très stables et rentables.

Nous accordons une importance particulière à ces trois caractéristiques, car nos tests rétroactifs montrent que les titres qui affichent de bons résultats en ce sens ont tendance non seulement à enregistrer de meilleurs rendements à long terme, mais aussi à présenter un risque plus faible. Cela correspond à notre intuition.

Par exemple, une société plus rentable que ses pairs aura un meilleur coussin financier lorsque l’économie lui mettra des bâtons dans les roues. Le fruit de ce travail consiste en un produit qui offre à nos clients un rendement comparable à celui des actions et présente des risques plus faibles.

Notre équipe gère des fonds à faible volatilité canadiens, américains et mondiaux. Des études universitaires ont en effet révélé que, à long terme, l’anomalie du faible risque existe pour les actions dans presque toutes les régions qui ont été étudiées.

Stu Morrow :

Formidable. Merci, Norm.

Pouvez-vous nous parler davantage de l’approche fondée sur la faible volatilité? Quels ont été les résultats de cette stratégie durant les périodes où les marchés boursiers et obligataires ont connu des bouleversements, faute d’un meilleur terme? Parlez-nous aussi du contexte actuel marqué par le relèvement des taux et l’inflation.

Norman So :

Bonne question, Stu.

D’abord et avant tout, l’objectif principal d’une stratégie fondée sur la faible volatilité est de réduire le risque lié aux actions et d’obtenir par le fait même de bons rendements ajustés au risque. Le risque est notre principale considération par rapport à tout ce qui est intégré au modèle. L’objectif de ces produits est différent de celui de la plupart des autres stratégies d’actions traditionnelles. Il faut en tenir compte au moment d’évaluer l’efficacité d’une stratégie.

Cela dit, nous croyons que l’approche fondée sur une faible volatilité est une stratégie d’achat à long terme gagnante. En fait, dans un article universitaire publié il y a plusieurs années, des données des États-Unis remontant à 1929 ont été examinées. L’article démontre l’existence de preuves de l’anomalie du faible risque. Ce sont 90 ans d’histoire marqués par divers cycles économiques et de taux d’intérêt. Cela nous donne davantage confiance dans l’efficacité à long terme de cette stratégie.

Dans le cadre de notre propre travail, nous examinons plus de 25 années de données, et nous avons fait quelques constats intéressants.

En ce qui a trait à la réduction du risque, il s’avère que la stratégie fondée sur la faible volatilité permet de limiter en continu la volatilité des portefeuilles au fil du cycle économique. Cela dit, la diminution de la volatilité est plus prononcée lorsque la volatilité du marché est élevée. Cette stratégie est encore plus efficace quand la volatilité des marchés est forte.

Du point de vue du rendement, si on la compare à l’ensemble des marchés boursiers, cette stratégie est plus efficace quand les marchés chutent. Nos tests rétroactifs montrent que les stratégies fondées sur la faible volatilité ont permis des rendements relatifs positifs presque chaque fois que des corrections de marché ont eu lieu lors des 25 dernières années. Elles ont offert aux clients une meilleure protection contre les baisses que les fonds d’actions traditionnels.

Mais est-ce aussi le cas quand les marchés sont en hausse? Tout dépend de ce qui influence les marchés. Si la hausse des marchés est attribuable à la reprise des titres à bêta élevé ou des actifs à haut risque, alors nos fonds à faible volatilité, qui sont fortement caractérisés par les titres à faible bêta, peineront à garder le pas. Mais si la hausse des marchés n’est pas due aux actions à bêta élevé, les fonds suivront la cadence et pourraient même produire un rendement relatif supérieur.

Nous l’avons constaté au cours des deux dernières années, depuis que le marché a atteint son plus bas niveau en mars 2020 en raison de la pandémie. Au cours des douze mois qui ont suivi, la hausse des marchés était attribuable à la très forte reprise des secteurs à bêta élevé. Les fonds à faible volatilité ont donc affiché un rendement relatif très médiocre.

Depuis la fin de cette reprise des secteurs à bêta élevé il y a un an, vers la fin de février 2021, le rendement relatif des fonds à faible volatilité s’est toutefois révélé bien meilleur. C’était tout particulièrement le cas entre mars et décembre l’an dernier. Nos fonds à faible volatilité ont eu un rendement égal, voire supérieur, à celui des indices boursiers dans leur ensemble, et ce, malgré la progression continue des marchés durant cette période.

Nous avons examiné nos tests rétroactifs mondiaux des 25 dernières années et avons constaté que, contrairement à la croyance populaire, les actions à faible bêta ont souvent eu un meilleur rendement que les actions à bêta élevé lorsque les marchés étaient à la hausse. Cela a été le cas dans 44% des années où les marchés ont crû, avant même de comptabiliser la réduction du risque pour les titres à faible bêta. De plus, les titres à faible bêta ont surpassé ceux à bêta élevé 100% du temps au cours des années où les marchés ont chuté. On obtient donc une stratégie assez solide à long terme.

En ce qui a trait à la sensibilité aux taux d’intérêt, notre analyse montre que les fonds à faible volatilité ont en moyenne un coefficient bêta de 0,7 par rapport aux marchés boursiers. Cela signifie également qu’environ 70% des titres des fonds ont la même sensibilité aux taux d’intérêt et à l’inflation que celle de l’indice d’actions général. Les 30% restants des titres du fonds, c’est-à-dire ce en quoi les fonds à faible volatilité diffèrent des indices d’actions traditionnels, présentent une corrélation positive avec les obligations.

Ce qui est tout à fait logique, car les fonds à faible volatilité surpondèrent habituellement les secteurs et les titres de sociétés qui ont des flux de dividendes et de bénéfices plus solides et plus stables, comme les sociétés de consommation de base et de services publics. Dans l’ensemble, nous considérons que la sensibilité aux taux d’intérêt des fonds à faible volatilité est semblable à celle des fonds d’actions et légèrement comparable à celle des fonds d’obligations.

Stu Morrow :

Très bien dit, Norm. Merci pour ces propos! Et merci pour votre présentation des placements quantitatifs, Jaco.

J’ai eu un énorme plaisir à m’entretenir avec vous deux. Merci aussi d’avoir pris le temps de parler directement à nos clients malgré vos journées chargées et merci pour les perspectives que vous offrez à RBC Gestion mondiale d’actifs.

Jaco Van der Walt :

Merci beaucoup. Ça fait plaisir.

Norman So :

Merci, Stu.

Stu Morrow :

Merci à nos clients d’avoir pris le temps, comme d’habitude, d’écouter notre balado. Comme toujours, si vous avez des questions au sujet de ce que vous avez entendu aujourd’hui, vous pouvez communiquer à tout moment avec votre gestionnaire de portefeuille. À la prochaine!

Divulgation et clause de non-responsabilité

L’épisode 25 de la baladodiffusion Opinion éclairée a été enregistré le 29 mars 2022.

Stuart Morrow est stratégiste en chef, Placements, RBC Phillips, Hager & North Services-conseils en placements inc. (RBC PH&N SCP). Les opinions exprimées par Stuart Morrow et ses invités lors de la baladodiffusion sont les leurs et ne reflètent pas l’avis de RBC PH&N SCP et de ses sociétés affiliées, y compris RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA). 

Cette baladodiffusion est offerte à titre indicatif seulement et ne devrait pas être le fondement de décisions de placement. Elle ne constitue ni une offre de vente ni la sollicitation d’une offre d’achat de titres. Le rendement passé ne garantit pas les résultats futurs. Les taux d’intérêt, les conditions des marchés, la réglementation fiscale et d’autres facteurs de placement changent rapidement, ce qui peut avoir une incidence importante sur l’analyse qui se trouve dans ce document. Ces renseignements ne constituent pas des conseils de placement, fiscaux ou juridiques et doivent être utilisés uniquement pendant une discussion avec votre gestionnaire de portefeuille RBC PH&N SCP ; il convient de s’adresser à un conseiller fiscal et à un conseiller juridique compétents avant de prendre des décisions fondées sur les renseignements présentés dans cette baladodiffusion. Ni RBC PH&N SCP ni l’une ou l’autre de ses sociétés affiliées, y compris RBC GMA, ni toute autre personne n’acceptent en aucun cas la responsabilité de toute perte directe ou indirecte découlant de toute utilisation des données contenues dans cette baladodiffusion. Les clients de RBC PH&N SCP peuvent conserver des positions dans les titres dont il est question dans cette baladodiffusion. Les opinions présentées ici correspondent à notre jugement aux dates indiquées et peuvent être modifiées sans préavis ; elles sont présentées en toute bonne foi, mais n’impliquent aucune responsabilité légale.

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