Vos volontés dictent le plan, mais…

Planification successorale
Au-delà de la richesse

Daniel Goldgut et Arin Klug, cofondateurs, Epilogue Wills discutent de l’importance d’avoir un testament et une procuration.

« La technologie permet de combler cette lacune en matière de planification successorale. Les gens peuvent utiliser notre plateforme en ligne comme ils le font d’habitude, depuis le confort de leur foyer et au moment qui leur convient. »
Arin Klug, cofondateurs, Epilogue Wills

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Transcript

Orateur initial :

Bonjour, et bienvenue à Au-delà de la richesse avec votre animatrice, Leanne Kaufman, présidente et cheffe de la direction de RBC Trust Royal. Pour la plupart d’entre nous, parler de sujets comme le vieillissement, la fin de la vie et la planification successorale n’est pas facile. C’est pourquoi nous avons produit ce balado, qui vous donne l’occasion d’en entendre parler tout en profitant des grandes connaissances de certains des meilleurs experts dans le domaine au pays. Aujourd’hui, nous voulons vous fournir des renseignements qui vous aideront à vous protéger, vous et votre famille, dans le futur. Voici votre animatrice, Leanne.

Leanne Kaufman :

Bonjour, je suis Leanne Kaufman. Bienvenue à Au-delà de la richesse de RBC Gestion de patrimoine – Canada.

Nous voulons, dans le cadre de cette série et avec le concours des experts du secteur, vous présenter des sujets opportuns pour vous aider à mieux comprendre les successions, la planification successorale et les sujets connexes. Dans ce tout premier épisode, nous parlons de l’un des principes fondamentaux de la planification successorale : la nécessité de rédiger un testament.

Nous savons depuis longtemps que bien des Canadiens n’ont toujours pas rédigé de testament. Et les proches d’un défunt pourraient en souffrir. Au cours des premiers jours de la crise liée à la pandémie de COVID-19, les gens se sont mis à accorder beaucoup plus d’importance à la planification successorale et se sont montrés prêts à parler du sujet. RBC Trust Royal a, conjointement avec Ipsos, mené récemment un sondage pour mieux déterminer si cette prise de conscience a effectivement incité des Canadiens à rédiger leur testament ou à établir une procuration. Selon les résultats, le nombre de Canadiens qui ont rédigé leur testament depuis n’a étonnamment pas augmenté de façon notable : seulement 48 % des 2 000 Canadiens interrogés ont déclaré avoir un testament. Pire encore, 65 % des personnes sondées ont dit qu’elles n’avaient pas de procuration. Sans entrer dans les détails, le sondage a révélé une grande différence selon l’âge des répondants : dans le groupe des 18 à 34 ans, 70 % n’avaient pas de testament, contre seulement 26 % des 55 ans et plus.

Je suis ravie de vous présenter nos invités Daniel Goldgut et Arin Klug, qui nous entretiendront sur le sujet et nous aideront à comprendre l’importance d’inciter les 52 % de la population qui n’ont pas de testament à en rédiger un. Arin et Daniel sont les fondateurs d’Epilogue Wills, une plateforme en ligne qui aide les gens à créer leurs propres testaments, procurations et autres documents de planification successorale. Avant le lancement de cette plateforme, Arin et Daniel étaient des avocats spécialisés en planification fiscale et successorale à Toronto. C’est là qu’ils ont constaté à quel point les gens avaient du mal à terminer leur plan successoral, et parfois même à le commencer. Ils ont alors eu l’idée d’utiliser la technologie pour faciliter davantage le processus et le rendre plus abordable, et ont fondé Epilogue en 2019 dans le but de démocratiser la planification successorale pour les Canadiens. RBC et Epilogue Wills ont annoncé qu’ils s’associaient afin d’offrir aux clients ayant besoin de services de planification successorale de base une option en ligne abordable pour rédiger un testament juridiquement contraignant.

Arin et Daniel, merci d’être avec nous aujourd’hui pour parler du testament et de l’importance qu’il revêt au-delà de la richesse.

Arin Klug :

Merci, Leanne. Avec plaisir.

Daniel Goldgut :

Merci de nous avoir invités.

Leanne Kaufman :

Arin, vous et Daniel êtes tous deux des avocats et vous avez déjà exercé dans le secteur de la planification successorale. Vous comprenez donc très bien l’importance d’établir des documents juridiques spécifiant les volontés d’une personne qui décède. Et des procurations aussi pour protéger les gens de leur vivant. Dites-nous pourquoi vous avez créé Epilogue, et quel rôle ont joué les données du sondage, mentionnées plus tôt, dans votre décision.

Arin Klug :

Oui. Merci, Leanne. Certaines de ces statistiques sont troublantes, mais elles sont logiques quand on y pense. Plusieurs personnes sont découragées à l’idée d’avoir à faire leur testament. Elles ne veulent pas y penser. Personne ne veut penser à la mort. De plus, les gens ne comprennent pas grand-chose à la planification successorale. Et quand on connaît mal quelque chose, on a peur de se jeter à l’eau, pour ainsi dire. Sans compter que c’est un processus qui a l’air très compliqué. C’est pourquoi certaines personnes ne vont même pas le commencer. Comme vous l’avez dit tout à l’heure, la plupart des gens qui planifient leur succession le font parce que le besoin est urgent. Je pense que c’est ce qui explique la différence entre les personnes plus âgées, qui font leur testament, et les plus jeunes, qui ne le font pas. Ce n’est pas comme une déclaration de revenus. Il n’y a pas de date limite à respecter pour rédiger son testament. Et puis, quand les gens pensent au testament, ils pensent à un avocat ou à un notaire, donc à quelque chose de coûteux qui peut prendre du temps. C’est la recette parfaite pour procrastiner. Je dis toujours que si l’on devait créer une tâche que les gens éviteront assurément d’accomplir, c’est de faire son testament.

Nous pouvions le voir en vrai, Daniel et moi, et nous étions d’avis que la technologie permettrait de combler cette lacune en matière de planification successorale. Il y a tellement de choses que les gens sont à l’aise de faire en ligne désormais, des choses qu’on avait l’habitude de faire avec l’aide d’une autre personne. Planifier un voyage, par exemple. Alors pour nous, la planification successorale (de base) est en quelque sorte le prolongement logique de tout cela. Les gens peuvent utiliser une plateforme en ligne comme ils le font pour une foule d’autres choses, en y accédant avec leur téléphone, leur ordinateur ou leur tablette. Depuis le confort de leur foyer et au moment qui leur convient. Tous ces éléments nous ont incités à offrir une solution comme Epilogue.

Leanne Kaufman :

Daniel, voici une question pour nos auditeurs qui pensent ne pas avoir besoin de testament, soit parce qu’ils pensent être trop jeunes ou pas assez riches pour que cela en vaille la peine. Pouvez-vous expliquer ce qui arrive lorsqu’on n’a pas de testament ?

Daniel Goldgut :

Bien sûr. C’est quelque chose qu’on entend tout le temps. Quand Arin et moi étions en exercice, les gens nous disaient : « Je suis trop jeune. Je n’ai pas assez d’actifs. » Je pense que beaucoup de gens ne comprennent pas toutes les conséquences. Quand on fait son testament, il faut prendre de grosses décisions.

La première qui me vient à l’esprit, c’est la distribution des actifs. Si vous n’avez pas de testament, vous ne choisissez pas à qui iront vos biens. Partout au Canada, dans chaque province, il existe des règles qui dictent ce qui arrive quand une personne décède sans testament. Les actifs sont distribués comme la loi l’entend. Donc, si vous n’avez pas de testament, il se peut que votre succession aille en tout ou en partie à des personnes avec qui vous n’auriez pas voulu la partager. Alors, même si vous avez peu d’actifs, il est tout de même important de choisir les personnes à qui vous aimeriez les léguer.

Je pense à deux autres aspects. Il y a deux autres grosses décisions à prendre lorsqu’on rédige son testament. L’une d’entre elles est de nommer un liquidateur. C’est un rôle très important. C’est cette personne (ou une société de fiducie) qui s’occupera de gérer vos affaires et de faire respecter vos volontés. Il est donc très important de choisir la bonne personne ou la bonne société pour assumer ce rôle, même pour les petites tâches à réaliser très tôt dans le processus. Par exemple, s’assurer que les factures sont payées et commencer à administrer la succession.

La troisième décision à laquelle je pense est la tutelle. Vous pouvez utiliser le testament pour nommer un tuteur pour vos enfants mineurs ou vos animaux domestiques, si vous en avez. Autrement dit, le testament peut être vraiment très important, même pour les jeunes qui n’ont pas une tonne d’actifs. C’est une raison assez convaincante. C’est l’une des choses qui incitent les gens à penser à leur testament. Il n’y a plus tellement de « je suis trop jeune » ou « je n’ai pas assez d’actifs » quand des enfants ou des animaux sont dans le portrait. Mais comme vous l’avez déjà mentionné, ce n’est pas suffisant pour que les gens se lancent.

Leanne Kaufman :

Espérons que des conversations comme celle-ci seront utiles. Bien sûr, faire son testament en ligne sans compter sur les conseils sur mesure d’un avocat ou d’un notaire, ce n’est pas nécessairement pour tout le monde. Votre plateforme en tient compte. Arin, pouvez-vous expliquer les cas dans lesquels Epilogue pourrait convenir ou ne pas convenir ?

Arin Klug :

Oui. C’est un très bon point, et c’est important que les gens le sachent quand ils mettent à réfléchir à la meilleure façon de faire leur testament. Ce que Daniel et moi avons remarqué, quand nous étions en exercice, c’est que les gens dont la situation familiale est relativement simple recherchent à peu près tous la même chose. Prenons l’exemple de la famille nucléaire. Un couple marié avec des enfants. Très souvent, on reçoit ce genre d’instructions : « Quand l’un de nous décédera, nous voulons que tous les actifs aillent au survivant. Et quand nous serons tous les deux décédés, nous voulons que tout soit divisé également entre les enfants. » C’est une méthode de distribution assez simple et standard qu’on voit souvent et qui se prête très bien à une solution technologique comme celle que nous avons conçue avec Epilogue.

Dès qu’on est en présence d’une distribution moins standard, il vaut mieux demander l’aide d’un avocat. Par exemple, dans le cas d’une famille recomposée dans laquelle il y a des enfants issus de deux unions, il faut tenir compte non seulement des besoins du conjoint actuel, mais aussi des besoins des enfants. Une plateforme en ligne ne suffit pas pour ce genre de planification plus personnalisée.

Je vous donne un autre exemple : disons qu’une personne veut traiter ses enfants différemment. Elle veut donner plus à un enfant et moins à l’autre – et il y a plusieurs bonnes raisons de vouloir le faire. Peut-être que cette personne a aidé l’un de ses enfants davantage de son vivant, et qu’elle veut rétablir l’équilibre avec son testament. C’est bien sûr possible de le faire, mais c’est le genre de nuance qui exige l’aide d’un professionnel qui pourra poser des questions très pertinentes sur les motifs de cette personne. Il prendra de très bonnes notes sur les raisons de traiter les enfants inégalement dans le testament. Il pourra même ajouter une clause à ce sujet, ce qui n’est pas possible avec une solution en ligne. Si la situation de la personne et la méthode de distribution qu’elle veut employer sont relativement simples, si ses actifs ne sont pas compliqués, alors elle pourrait faire son testament en ligne facilement et à peu de frais.

Leanne Kaufman :

Excellent. Merci. Nous avons dit tout à l’heure que la pandémie a braqué les projecteurs sur le mode de vie à la retraite. Mais dans un contexte de mortalité et de planification successorale, nous avons parlé des jeunes Canadiens et avons expliqué les raisons pour lesquelles ils devraient avoir un testament. Mais rappelons qu’un grand nombre de Canadiens plus âgés ne possède toujours pas de testament à jour. Ce sont 26 % du groupe des 55 ans et plus.

Daniel, d’après votre expérience, quels sont les problèmes qui peuvent survenir lorsqu’on n’a pas de testament, ou bien lorsque le testament n’est pas à jour alors que les circonstances ont changé ? Quelles sont les incidences sur le règlement de la succession ? Pouvez-vous nous en parler ?

Daniel Goldgut :

Oui, plusieurs personnes voient le testament comme un document dont on s’occupe une fois et qui n’a pas nécessairement besoin d’être modifié. Mais en fait, nous avons souvent constaté et continuons de constater que plusieurs Canadiens âgés ont rédigé leur testament depuis un certain temps déjà, alors que leur situation a changé depuis.

Prenons la désignation du liquidateur, par exemple. Est-ce encore la bonne personne, 30 ans plus tard ? Si vous avez désigné vos parents comme liquidateurs et que ceux-ci ont à présent plus de 80 ou de 90 ans, est-ce encore logique de maintenir votre choix ? C’est peut-être plutôt l’occasion de vous dire : « J’ai des enfants adultes qui sont responsables, qui connaissent mieux nos finances, et qui seraient donc mieux placés pour jouer ce rôle. » Ce pourrait être aussi une société de fiducie, si les actifs ont changé depuis la création du testament.

Un autre exemple : l’âge de la distribution. Une personne qui a de très jeunes enfants au moment de rédiger son testament pourrait dire : « Je pense qu’ils devraient recevoir leur héritage au complet à 21 ans. » Trente ans plus tard, elle voudra peut-être revenir sur ce point et apporter un changement, soit parce qu’elle connaît mieux les enfants, soit parce qu’elle a une meilleure idée de l’âge qui serait idéal pour les laisser gérer leur héritage, ou encore parce que ses actifs ont changé. Peut-être s’était-elle dit : « Je suis d’accord pour qu’un enfant reçoive le tiers de ma succession si le montant est celui-ci. Je trouve que 21 ans est un âge convenable. » Et plus tard : « Je ne suis plus du tout de cet avis, maintenant le montant beaucoup plus élevé. » C’est donc quelque chose qui pourrait gagner à être revu.

Il faut mettre son testament à jour quand survient un changement dans sa situation familiale. Si vous avez rédigé votre testament alors que vous n’aviez aucun enfant, et que vous en avez eu par la suite, il serait très important de vous assurer de les inclure dans votre testament. Il en va de même si vous avez créé votre testament avant de vous marier, ou si vous étiez marié, mais avez divorcé ensuite. Autrement dit, il est possible que des personnes très chères à vos yeux ne soient pas nommées dans votre testament. Ou au contraire, que des personnes qui ne font plus partie de votre vie s’y retrouvent toujours. C’est donc toujours important.

Leanne Kaufman :

Ou peut-être avez-vous besoin d’une fiducie parce que quelque chose est arrivé à l’un des bénéficiaires, par exemple. Oui. En effet. Il y a tellement de circonstances qui peuvent changer et avoir des répercussions sur le plan successoral, et les gens n’y penseront pas nécessairement par eux-mêmes. N’est-ce pas ?

Cette conversation aura été vraiment utile. Mais j’ai l’impression que nous avons à peine effleuré la partie visible de l’iceberg. J’espère que nous aurons l’occasion de vous recevoir à nouveau et d’en reparler. Mais avant de conclure, j’ai une question pour vous. Commençons par Arin, et ce sera votre tour ensuite, Daniel. Si nos auditeurs devaient retenir une seule chose de notre conversation d’aujourd’hui, qu’est-ce que ce serait ?

Arin Klug :

À part faire leur testament (ce qui est bien sûr évident, maintenant que vous nous avez entendus parler de son importance), j’aimerais parler du mythe selon lequel c’est au bureau de l’avocat ou du notaire que le testament est descellé et lu pour la première fois devant toute la famille. Vous savez que ce n’est pas vrai, Leanne. Ce n’est pas ce qui arrive. Les gens pensent que leur testament devrait rester secret, mais je ne suis pas de cet avis. Il est important d’informer les personnes que vous nommez comme liquidateur ou tuteur de vos enfants, de vous assurer qu’elles sont à l’aise avec ce rôle, de leur faire part de vos volontés. Elles devraient voir le contenu du testament, parce que personne ne veut se faire annoncer au téléphone qu’elle a été nommée comme liquidateur après le décès. Pire encore : on l’a choisie pour être le tuteur des enfants, et elle ne le savait pas.

Alors, une fois que vous aurez fait votre testament, il sera important de le montrer et de communiquer vos volontés aux personnes que vous avez affectées à ces rôles.

Leanne Kaufman :

Et peut-être, dans certains cas, de leur expliquer les raisons derrière vos choix.

Arin Klug :

Tout à fait.

Leanne Kaufman :

Qu’en pensez-vous, Daniel ?

Daniel Goldgut :

Mon conseil, c’est de commencer quelque part. Il y a plusieurs choses que les gens remettent continuellement et ont du mal à commencer parce qu’ils se sentent découragés, et le testament en fait partie. Ils pensent qu’ils doivent être prêts à aller jusqu’au bout d’un processus interminable, alors que ce n’est pas nécessairement le cas. Alors, je pense que c’est important de commencer, tout simplement. Et il y a plusieurs moyens de le faire. On peut aller en ligne, on peut appeler un avocat. Il suffit d’aborder le sujet pour que les gens se rendent compte que le processus n’est pas aussi terrifiant que cela, quel que soit le chemin qu’ils finissent par emprunter. Et au bout de ce chemin, c’est la tranquillité d’esprit qui les attend. C’est l’une de ces tâches qui restent sur la liste des choses à faire pendant très longtemps et qui nous libèrent d’un fardeau quand on l’accomplit enfin, lorsqu’on a nommé un liquidateur et un tuteur, une fois qu’un plan de base est en place. Alors, lancez-vous. Commencez quelque part. C’est ce que je vous conseille de faire.

Leanne Kaufman :

Vous nous avez donné d’excellents conseils tous les deux. Arin, Daniel, merci beaucoup d’avoir été des nôtres aujourd’hui et de nous avoir transmis tous ces renseignements importants au sujet de la planification successorale et de l’importance du testament « au-delà de la richesse ».

Pour en savoir plus sur Epilogue Wills et sur Daniel et Arin et leur travail, visitez leur site Web, epiloguewills.com. Vous pouvez les suivre sur Facebook (@Epiloguewills), Twitter (@Epilogue_Wills) ou Instagram (@Epilogue_Wills). Merci à tous. Nous vous souhaitons une excellente journée.

Arin Klug :

Merci.

Daniel Goldgut :

Merci.

Orateur final :

La liquidation d’une succession peut se révéler ardue, en particulier au cours d’une période déjà difficile et chargée d’émotions. Nombreuses sont les personnes qui découvrent qu’elles ne sont pas prêtes à accomplir cette tâche, d’autant plus que cela exige du temps et que les fonctions à remplir peuvent être stressantes. Si vous êtes en train de régler une succession ou qu’un de vos proches vient de vous désigner comme liquidateur, RBC Trust Royal peut vous aider. La trousse à outils de l’assistant liquidateur Artie, qui est offerte gratuitement à tous les Canadiens sur le site Web de RBC Trust Royal, peut vous aider à comprendre la complexité de la succession que vous réglez et vous guider dans les tâches qui y sont associées. Visitez l’adresse rbc.com/trustroyal pour en savoir plus.

Merci d’avoir été des nôtres pour cet épisode de Au-delà de la richesse. Pour en savoir plus sur RBC Trust Royal, visitez notre site Web à rbc.com/trustroyal.

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Ce balado est fourni à titre indicatif seulement et ne vise pas à donner des conseils ni à approuver ou à recommander un contenu ou des tiers qui y sont mentionnés. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particulière. Les renseignements présentés sont réputés être factuels et à jour, mais leur exactitude n’est pas garantie et ils ne doivent pas être considérés comme une analyse exhaustive du sujet abordé.

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