Vidéo : Conseils indéfectibles du Barbier riche sur la planification successorale

Voix de l’agent de relations publiques :

Élégante tenue, Crockett. Et merci d’être venu. Auriez-vous la gentillesse de nous décliner rapidement votre nom, votre âge, en plus de nous préciser la date du jour pour les dossiers que nous créons ici, à l’agence de relations publiques.

David Chilton :

Je suis un peu nerveux. Mon nom est Dave Chilton. J’ai 27 ans et nous sommes le 2 novembre 1988.

Voix de l’agent de relations publiques :

Vous avez l’air beaucoup plus vieux.

David Chilton :

Eh bien… c’est probablement l’éclairage qui fait cet effet.

Voix de l’agent de relations publiques :

Quel est le sujet de ce projet ? Pourquoi avez-vous besoin de nos services ?

David Chilton :

J’écris actuellement un livre intitulé The Wealthy Barber.

Voix de l’agent de relations publiques :

Voilà un titre intriguant. On y traite sans doute d’espionnage international, comme dans les romans de John Le Carré. J’adore !

David Chilton :

Eh bien, non… malheureusement, le sujet est un peu plus élémentaire puisqu’il s’agit d’un manuel pratique.

Voix de l’agent de relations publiques :

Qui traite des soins capillaires ?

David Chilton :

Non, mais je peux très bien comprendre pourquoi cette idée vous est venue à l’esprit.

Ce livre vise à présenter les bases de la finance personnelle à travers la voix d’un barbier avisé qui prodigue ses conseils pendant qu’il coupe les cheveux de jeunes adultes.

Voix de l’agent de relations publiques :

Voilà qui semble un peu étrange.

David Chilton :

Eh bien, en fait, cette pensée m’a également traversé l’esprit lorsque je vous tenais ces propos. Mais en ayant recours à un titre inédit, je pense que nous pouvons rendre le sujet beaucoup plus captivant.

Voix de l’agent de relations publiques :

Je vois. À n’en pas douter, ce livre sera absolument passionnant. Quel genre de sujet abordez-vous dans The Happy Baker ?

David Chilton :

Non, le titre est The Happy… laissons tomber. Eh bien, par exemple, on y retrouve une longue section qui traite de la planification successorale.

Voix de l’agent de relations publiques :

Formidable. Je ne doute pas un instant que cela sera tout à fait fascinant. Les jeunes ont-ils même besoin d’un testament ? Doivent-ils vraiment s’inquiéter de ce genre de chose à leur âge ?

David Chilton :

Oui, absolument ! Comme vous le savez, il arrive que des accidents puissent survenir. Il est très important de se doter d’un testament au début de l’âge adulte ainsi que de le mettre à jour au besoin, à quelques années d’intervalle.

Voix de l’agent de relations publiques :

Le boucher est-il en faveur de cette approche ?

David Chilton :

Non, il est plutôt question d’un barbier et oui, c’est le cas.

Voix de l’agent de relations publiques :

Suivez-vous ce conseil ?

David Chilton :

Je prêche certainement par l’exemple. Non seulement le fait de disposer d’un testament constitue-t-il la bonne chose à faire pour votre famille, mais j’ai également constaté que la rédaction d’un testament avait dynamisé mon processus de planification financière. Cela m’a permis de mieux réfléchir à mon avenir. À l’importance que revêt le fait d’épargner, etc. Je me passionne véritablement pour des choses comme les REER et l’épargne forcée.

Voix de l’agent de relations publiques :

Avez-vous des amis ?

David Chilton :

Oui, pourquoi… pourquoi ?

Voix de l’agent de relations publiques :

Simple curiosité.

David Chilton :

Vous savez que je me suis également doté de mandat de protection. C’est si important. Il peut toujours arriver un accident et je ne voudrais pas que ma famille se retrouve dans une situation délicate advenant que je sois frappé d’incapacité.

Je le conserve avec mon testament ainsi qu’avec un relevé à jour de ma valeur nette.

Et une autre chose importante…

Voix de l’agent de relations publiques :

Désolé, mais nous devons interrompre la conversation ici, Dave. Voilà qui est regrettable alors que vous partagiez avec nous des informations aussi captivantes. Je ne doute pas que les médias pourront s’en délecter, mais je n’ai pas l’impression que nous soyons l’agence qu’il vous faut.

David Chilton :

Oh ! voilà qui est dommage ! Auriez-vous l’obligeance de m’en référer une autre ?

Voix de l’agent de relations publiques :

Non.