Technologies novatrices pour les personnes âgées et les soignants

Vieillir en santé
Au-delà de la richesse

Apprenez-en plus sur les solutions novatrices qui aident les Canadiens âgés à demeurer en contact avec autrui, préserver leur indépendance et vivre plus longtemps chez eux

« … la technologie peut faire une différence. Elle peut aider les personnes âgées et les soignants à vivre mieux et à être en meilleure santé. »
Dr Alex Mihailidis, directeur scientifique et chef de la direction, AGE-WELL – Réseaux de centres d’excellence (RCE)

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Transcript

Orateur initial:

Bonjour, et bienvenue à Au-delà de la richesse avec votre animatrice, Leanne Kaufman, présidente et cheffe de la direction de RBC Trust Royal. Pour la plupart d’entre nous, parler de sujets comme le vieillissement, la fin de la vie et la planification successorale n’est pas facile. C’est pourquoi nous leur consacrons ce balado qui vous donne l’occasion d’en entendre parler tout en profitant des grandes connaissances de certains des meilleurs experts dans le domaine au pays. Aujourd’hui, nous voulons vous fournir des renseignements qui vous aideront à vous protéger, vous et votre famille, dans le futur. Voici votre animatrice, Leanne Kaufman.

Leanne Kaufman :

Saviez-vous que l’on s’attend à ce que les personnes de plus de 65 ans représentent un quart de la population du Canada d’ici 2050 ? En fait, même au cours des trois prochaines années, on s’attend à ce que le Canada joigne les rangs des sociétés superâgées, qui se caractérisent par le fait que plus de 20 pour cent de leur population a plus de 65 ans (en anglais). Cette réalité exposera le Canada à de nombreux défis sur les plans social, fiscal et médical associés à cette cohorte qui vieillit rapidement. Cependant, au-delà des défis et des difficultés, se profilent également à l’horizon de bonnes nouvelles, parmi lesquelles figurent la multitude de solutions novatrices qui peuvent aider les Canadiens âgés à demeurer en contact avec autrui, préserver leur indépendance et vivre plus longtemps chez eux, en sécurité.

Bonjour, mon nom est Leanne Kaufman, et je vous souhaite la bienvenue au balado Au-delà de la richesse de RBC Gestion de patrimoine Canada. Se joint à moi aujourd’hui pour parler de certaines de ces technologies novatrices le Dr Alex Mihailidis. Alex est directeur scientifique et chef de la direction d’AGE-WELL Réseaux de centres d’excellence, qui s’intéresse au développement de nouvelles technologies et de nouveaux services pour les personnes âgées. Il est également titulaire de la chaire de recherche Barbara G. Stymiest en technologie de la réadaptation à l’Université de Toronto et au Toronto Rehabilitation Institute du Réseau universitaire de santé. Il réalise des recherches et publie dans le domaine de la technologie pour venir en aide aux personnes âgées depuis 17 ans. En 2022, à l’occasion de la Décennie pour le vieillissement en bonne santé des Nations Unies, il a été reconnu comme l’un des 50 leaders qui travaillent à favoriser un vieillissement en santé, s’employant à transformer le monde de telle sorte qu’il soit plus facile d’y vieillir.

Alex, permettez-moi de vous remercier de vous employer à rendre le monde meilleur. Je vous remercie également de vous joindre à moi aujourd’hui pour parler de l’importance que peuvent avoir la technologie et l’innovation pour vieillir en santé et souligner pourquoi ces questions importent au-delà de la richesse.

Dr Alex Mihailidis :

Merci beaucoup, Leanne, de m’avoir invité. Je suis ravi d’être ici.

Leanne Kaufman :

Pourquoi ne commencerions-nous pas en parlant de vous, de vos antécédents, ainsi que d’AGE-WELL et du travail que vous accomplissez ? Pourriez-vous nous en dire un peu sur ces deux sujets ?

Dr Alex Mihailidis :

Absolument. Comme vous l’avez souligné, je réalise des travaux de recherche dans ce domaine depuis quelques décennies maintenant, et mes travaux portent principalement sur le développement de nouvelles technologies et de nouvelles solutions technologiques qui visent à aider les personnes âgées à continuer à vivre dans leur maison et au sein de leur communauté. Ces solutions visent également, ce qui est tout aussi important, à venir en aide aux soignants et aux membres de la famille qui s’emploient à offrir les meilleurs soins possibles. À cet égard, nous nous sommes donc notamment intéressés à des choses telles que les systèmes de domotique, au rôle de l’intelligence artificielle (IA), au rôle des capteurs prêt-à-porter et, plus récemment, de plus en plus, à l’utilisation des robots à la maison.

AGE-WELL est un réseau national qui s’intéresse principalement à des priorités similaires à celles autour desquelles s’articulent mes propres travaux de recherche, bien que son mandat soit beaucoup plus vaste. Nous appuyons le développement de la recherche, la commercialisation et, ce qui semblerait encore plus important, l’élaboration de nouvelles politiques applicables d’un océan à l’autre, ici au Canada, et qui concernent le rôle que peut jouer la technologie pour appuyer notre population vieillissante.

Leanne Kaufman :

Nous allons revenir plus longuement à ce que vous venez d’évoquer dans quelques minutes. Mais, de manière générale, quels sont certains de ces problèmes que tente de résoudre la technologie ? Ou, peut-être, quelles sont les avenues que la technologie souhaite développer en ce qui concerne la vie des Canadiens qui vieillissent, au-delà de celles que vous venez de brièvement mentionner ?

Dr Alex Mihailidis :

Nous nous intéressons donc aux technologies qui peuvent véritablement aider les personnes âgées et les soignants dans une multitude de domaines. Comme vous pouvez facilement l’imaginer, la principale priorité consiste à appuyer leur santé et leur bien-être. Il est donc ici question de technologies qui peuvent permettre de contrôler les maladies chroniques auxquelles peuvent être exposées les personnes âgées, comme le diabète ou l’insuffisance cardiaque congestive. Des technologies qui peuvent venir en aide aux adultes plus âgés qui souffrent de troubles cognitifs comme la démence pour leur permettre de mener leurs activités quotidiennes comme, par exemple, en fournissant des invites et des rappels des choses qu’ils pourraient devoir être tenus de faire, comme prendre leurs médicaments ou se prodiguer eux-mêmes des soins.

Au-delà de la santé, nous nous intéressons au rôle que peut jouer la technologie pour appuyer les activités de socialisation afin de faire en sorte que les personnes âgées puissent demeurer en contact avec leur communauté, leurs amis et leurs équipes de soins de santé. En ce qui concerne les soignants, nous nous intéressons véritablement à la façon dont les technologies peuvent aider les membres de la famille à fournir les meilleurs soins possibles, non seulement à leur proches, mais également à eux-mêmes. Il est donc question de technologies qui peuvent aider les soignants à reprendre leur travail ou leur emploi tout en sachant que les personnes dont ils s’occupent sont en sécurité et vont bien.

Leanne Kaufman :

Eh bien, peut-être pourrions-nous approfondir quelque peu cette question et pourriez-vous nous donner quelques exemples d’applications technologiques destinées aux adultes plus âgés et aux soignants. Nous connaissons tous probablement certains des outils technologiques comme les dispositifs de prévention des chutes prêt-à-porter ou les systèmes de communication directe. Mais quels sont certains des produits ou des systèmes sur lesquels vous travaillez ou qui sont peut-être déjà commercialisés et qu’il se pourrait que quelques-uns d’entre nous ne connaissent pas ?

Dr Alex Mihailidis :

Absolument. Je pourrais par exemple vous parler de cette nouvelle technologie appelée Centivizer. Il s’agit d’un moyen technologique qui permet de veiller à ce que les personnes âgées demeurent actives, que ce soit chez elles ou à l’extérieur, au sein de leur communauté, en créant des environnements virtuels avec lesquels elles peuvent agir lorsqu’elles se servent, par exemple, d’un vélo stationnaire, ces systèmes leur fournissant la rétroaction qui leur est nécessaire. Ces systèmes sont utiles pour leurs soignants, s’agissant de déterminer comment elles se tirent d’affaire sur le plan de l’activité physique.

De nouvelles technologies favorisent également le maintien de liens entre les unités familiales, comme dans le cas d’un produit offert par la société family.net. Si ce dispositif en particulier se présente sous forme de tablette, il n’inclut que les fonctionnalités que cette entreprise a été en mesure de découvrir après de nombreuses années de recherches auprès de personnes âgées et de soignants, et dont ces derniers estiment qu’elles sont nécessaires et importantes pour assurer le maintien de la socialisation entre les adultes plus âgés et les membres de leurs cercles sociaux, leurs parents et leurs prestataires de soins de santé.

Je dois également parler des technologies plus génériques, comme celles qui concernent la prévention des chutes. Au sein du réseau AGE-WELL, nous travaillons énormément non seulement sur le volet qui consiste à détecter les chutes, mais également sur celui qui vise en fait à prédire à quel moment une chute va survenir… avant même qu’elle ne survienne ! C’est sur ce plan qu’intervient l’intelligence artificielle. Nous appuyons actuellement un certain nombre de projets menés à travers le pays qui font appel à l’IA pour prédire les changements touchant la santé et le bien-être d’une personne avant qu’ils se produisent. Ainsi, à titre d’exemple, un certain nombre de projets s’emploient à déterminer de quelle façon nous pouvons prédire des changements cognitifs avant qu’ils se produisent de telle sorte que nous puissions prévoir les interventions appropriées le plus rapidement possible.

Leanne Kaufman :

Je suis heureuse que vous ayez fait référence à l’IA puisqu’au cours de la dernière année il y a eu énormément de débats, d’inquiétudes et de propos de toutes sortes sur les fulgurants progrès de l’IA. De sorte que ce dont vous venez de parler au sujet de la détection des chutes et de la mise en place d’un système d’alerte est absolument fascinant. Existe-t-il d’autres domaines où nous pensons qu’il serait possible de tirer parti de l’IA pour ce genre de travail ?

Dr Alex Mihailidis :

Absolument. Je pense que l’IA se répand de plus en plus dans les technologies destinées aux personnes âgées parce qu’elle permet d’en apprendre plus sur la personne et de s’adapter à ses besoins. Comme on ne cesse de me le répéter chaque fois que je présente le fruit de mes travaux, notamment à des auditoires formés d’adultes plus âgés, il est essentiel de bien prendre conscience du caractère hétérogène de cette population. En termes simples chaque personne âgée est différente. Nous constatons que les solutions passe-partout applicables à tous ne fonctionnent pas. C’est à cet égard que l’IA peut être utile puisque nous pouvons commencer par mettre de l’avant une version relativement élémentaire d’une solution technologique donnée. Par la suite, en la dotant de capacités d’IA, nous pouvons faire en sorte qu’elle puisse se familiariser avec les besoins de la personne, avec ses capacités, avec ses handicaps, pour s’adapter et altérer la façon dont elle intervient sur le plan de la prestation de l’aide, et ce, en temps réel.

Leanne Kaufman :

Vous avez fait référence aux robots, ce qui est absolument fascinant pour moi. Pour dire vrai, il m’arrive très souvent de penser que j’aimerais pouvoir disposer de mon propre petit robot pour réaliser certaines choses. Mais de quels types d’activités les robots sont-ils en mesure de s’acquitter ou seront-ils bientôt en mesure de poser des gestes qui viendront en aide soit aux Canadiens plus âgés, soit à leurs soignants ?

Dr Alex Mihailidis :

Les robots actuellement disponibles servent généralement à des tâches comme celles qui consistent à fournir des rappels et à mobiliser les personnes âgées souffrant de troubles cognitifs. On fait également appel aux robots pour intervenir sur le plan de la socialisation, que ce soit par la tenue de conversations entre le robot et la personne en tant que telle, ou en maintenant des liens entre la personne âgée et sa communauté sociale élargie. Nous commençons également à disposer de robots servant à des fins de contrôle à distance de la santé qui sont en mesure de poser des gestes relativement élémentaires, comme ceux qui consistent à prendre la pression artérielle ou la fréquence cardiaque de quelqu’un, puis de transmettre cette information à l’équipe responsable des soins de santé.

Pour ma part, je considère que le recours à des robots pour poser des gestes tels que ceux qui consistent à se rendre à la salle de bains et à en revenir ou pour déplacer de gros objets n’est pas pour demain. Cependant, il est actuellement possible de faire appel à ces robots pour entretenir ces contacts de nature plus sociale, domaine que nous qualifions de robotique sociale. Si plusieurs d’entre eux sont actuellement déjà commercialisés, je pense que leur nombre est appelé à se multiplier au cours des prochaines années.

Leanne Kaufman :

Ainsi donc, la réalité est différente de celle que présentait la série The Jetsons, où le robot Rosey pouvait également préparer vos repas ? Je pense que, si je comprends bien ce que vous me dites, nous ne sommes pas sur le point de disposer de ce genre de robots ?

Dr Alex Mihailidis :

Non, pas encore. Mais il ne faut pas exclure une telle éventualité. Certains travaillent à de tels projets.

Leanne Kaufman :

Et vers quelles sources peut-on se tourner pour en apprendre plus sur ce qui est déjà disponible ? Outre Google, existe-t-il des ressources centralisées qui pourraient s’avérer utiles pour les personnes qui aimeraient comprendre les innovations qui sont peut-être déjà disponibles ?

Dr Alex Mihailidis :

Voilà une excellente question qui m’est fréquemment posée. Malheureusement, il n’existe aucun gisement central pour retrouver cette information. J’estime qu’actuellement le meilleur endroit pour se familiariser avec les divers produits et entreprises auxquels AGE-WELL a accordé son appui est le site Web du réseau AGE-WELL. On y retrouve également d’autres liens. Mais on ne cesse d’évoquer la nécessité de mettre en place un gisement central ou, en quelque sorte, une entité centrale, voire une organisation qui pourrait permettre de rassembler le fruit de tous ces formidables travaux de recherche qui se déroulent actuellement à travers le pays dans ce domaine.

Leanne Kaufman :

Et où vous-même et vos collègues du laboratoire AGE-WELL vous tournez-vous pour puiser votre inspiration ? Portez-vous attention à ce qui se passe dans d’autres pays ? Observez-vous ce qui se passe dans d’autres secteurs ou comment vous y prenez-vous pour continuer à faire preuve d’innovation ?

Dr Alex Mihailidis :

Je dirais que nous faisons tout ce que vous venez d’évoquer. Nous souhaitons bien évidemment observer ce qui se passe dans le monde, mais nous comptons surtout sur les personnes âgées et les soignants eux-mêmes. Nous comptons sur un groupe très actif de plus de 5 000 personnes âgées et soignants à travers le pays. Ils participent à AGE-WELL. Nous avons un groupe consultatif de personnes âgées et de soignants qui ne cessent de nous faire part de leurs commentaires. De sorte que notre inspiration provient de cela, du besoin en tant que tel, et ce sont les parties prenantes avec lesquelles nous collaborons.

Leanne Kaufman :

Eh bien, il me semble, Alex, que nombreuses sont les personnes qui s’intéresseront vivement au laboratoire AGE-WELL pour en apprendre plus et qui, je l’espère, ne manqueront pas de consulter votre site. Mais si vous deviez espérer que les personnes à l’écoute ne se rappellent que d’une chose de l’entretien que nous avons eu aujourd’hui, quelle serait-elle ?

Dr Alex Mihailidis :

Je pense que la réponse est le fait que la technologie peut faire une différence. Elle peut aider les personnes âgées et les soignants à vivre mieux et à être en meilleure santé. Encore une fois, que cette personne vive toujours dans le domicile qu’elle a occupé pendant 50 ans, dans une maison de retraite ou dans un centre de soins infirmiers, la technologie peut jouer un rôle. Nous avons pu observer cela durant la pandémie de COVID. Nous avons noté que la technologie a entrepris de jouer un rôle très important à l’égard du soutien des personnes âgées et, pour dire vrai, dans le soutien de notre santé collective, et nous ne souhaitons pas perdre cet acquis. Bien que la pandémie de COVID ait été un événement tout à fait horrible, nous ne souhaitons pas perdre l’élan qu’elle a permis de susciter. Et le message que j’aimerais communiquer est que, si certaines technologies sont déjà disponibles, nous allons commencer à en voir beaucoup plus, et elles vont véritablement faire une différence importante dans la vie de chacun d’entre nous.

Leanne Kaufman :

Voilà qui est très intéressant à entendre et je suis absolument reconnaissante du travail que votre équipe, vous-même et d’autres personnes comme vous accomplissez à travers le monde. Permettez-moi de vous remercier vivement, Alex, de vous être joint à moi aujourd’hui pour parler des diverses façons dont nous pouvons tirer parti de ces nouvelles technologies et de cette innovation de telle sorte que nous puissions tous vieillir de manière indépendante et en contrôle, et cela importe au-delà de la richesse.

Dr Alex Mihailidis :

Merci beaucoup, Leanne.

Leanne Kaufman :

Vous pouvez en apprendre plus sur le Dr Alex Mihailidis en consultant son profil LinkedIn (en anglais), ou, comme il l’a indiqué, en vous rendant sur le site Web du réseau AGE-WELL. Si vous avez aimé cet épisode du balado et si vous souhaitez contribuer à l’appuyer, nous vous invitons à en faire part à d’autres personnes, en parler sur les médias sociaux ou à donner une note et à rédiger une critique. Mon nom est Leanne Kaufman. Au plaisir de vous retrouver. Merci de vous être joints à nous.

Orateur final :

Qu’il s’agisse de planifier votre succession ou les besoins de votre famille ou de votre entreprise, ou de bien remplir votre rôle d’exécuteur testamentaire (appelé liquidateur au Québec) de la succession d’un être cher, nous pouvons vous guider, aplanir les difficultés et soutenir votre vision. Faites équipe avec RBC Trust Royal afin que les générations futures profitent longtemps de votre legs. Laissez un héritage, pas un fardeau™. Allez à rbc.com/trustroyal.

Merci d’avoir suivi cet épisode d’Au-delà de la richesse. Pour en savoir plus sur RBC Trust Royal, veuillez visiter notre site à rbc.com/trustroyal.

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Ce balado est fourni à titre indicatif seulement et ne vise pas à donner des conseils ni à approuver ou à recommander un contenu ou des tiers qui y sont mentionnés. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particulière. Les renseignements présentés sont réputés être factuels et à jour, mais leur exactitude n’est pas garantie et ils ne doivent pas être considérés comme une analyse exhaustive du sujet abordé.

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