Planification de la retraite

Planification de la retraite
Au-delà de la richesse

La retraite n’est plus ce qu’elle était. Découvrez des astuces pour préserver votre santé émotionnelle et votre bonheur après avoir quitté le marché du travail

« Les gens ont besoin de vivre des épreuves et la recherche d’un but est l’une des principales activités, l’une des principales quêtes qui feront que les 30 prochaines années vaudront la peine d’être vécues… Ce sujet peut sembler impressionnant et ambitieux, mais il peut en fait être motivant et modeste. On peut par exemple se mettre au service de la collectivité locale. Apporter du bonheur à son entourage. »
Shaun Murphy, psychologue organisationnel et consultant en gestion à la retraite

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Orateur initial:

Bonjour, et bienvenue à Au-delà de la richesse avec votre animatrice, Leanne Kaufman, présidente et cheffe de la direction de RBC Trust Royal. Pour la plupart d’entre nous, parler de sujets comme le vieillissement, la fin de la vie et la planification successorale n’est pas facile. C’est pourquoi nous leur consacrons ce balado qui vous donne l’occasion d’en entendre parler tout en profitant des grandes connaissances de certains des meilleurs experts dans le domaine au pays. Aujourd’hui, nous voulons vous fournir des renseignements qui vous aideront à vous protéger, vous et votre famille, dans le futur. Voici votre animatrice, Leanne Kaufman.

Leanne Kaufman :


Nous savons tous que la situation démographique évolue et que les Canadiens vivent plus longtemps que jamais. Nous avons déjà mentionné dans ce balado que les centenaires, c’est-à-dire les personnes âgées de plus de 100 ans, font partie des segments de la population qui connaissent la croissance la plus rapide. Cela signifie pour bon nombre d’entre nous que la retraite durera aussi longtemps, voire plus, que la vie active. Nous idéalisons souvent la retraite. Nous la voyons comme une période de liberté et de loisirs, mais cela ne représente qu’une facette de la réalité, en particulier pour les personnes dont la carrière fait partie intégrante de leur identité et de leur but. La retraite et le troisième âge revêtent une dimension émotionnelle importante.

Bonjour, je m’appelle Leanne Kaufman et je vous souhaite la bienvenue au balado Au-delà de la richesse de RBC Gestion de patrimoine – Canada. Je suis accompagnée aujourd’hui de Shaun Murphy, psychologue organisationnel et consultant en gestion à la retraite. Il compte 30 ans d’expérience dans le coaching de cadres dans des multinationales. Après avoir pris sa retraite, Sean a réorienté son activité professionnelle. Il anime désormais des ateliers et des séances de coaching axés sur les six ingrédients essentiels à une retraite heureuse, intitulés « Thriving in the Third Stage of Life ».

Shaun, merci d’être ici avec moi aujourd’hui pour parler des façons de réussir sa retraite et de son importance au-delà du patrimoine.

Shaun Murphy :

Merci, Leanne. C’est un véritable plaisir d’être ici.

Leanne Kaufman :

Comme je viens de le mentionner, vous avez modifié votre activité professionnelle et votre pratique, et peut-être que vous n’appelez pas cela une retraite, mais vous êtes passé de coach de cadres à coach de retraite. Qu’est-ce qui vous a amené à penser que c’était la bonne décision à ce stade de votre vie?

Shaun Murphy :

Tout au long de ma carrière, j’ai appris à connaître la vie intime des dirigeants ainsi que la complexité de cette vie, le stress, les pressions, mais aussi les satisfactions et les joies qu’elle procure. Lorsque certains de mes clients ont commencé à approcher de la retraite, nos conversations ont pris une tout autre tournure. Ils se sont demandé, tout comme leurs amis et leurs pairs : « À quoi vais-je être confronté au cours de cette prochaine étape? » Ils m’ont également dit : « Avez-vous plus de renseignements à ce sujet? Jusqu’ici, vous nous avez beaucoup aidés à titre de confident lorsque nous vous parlions de notre vie. Que proposez-vous pour cette nouvelle étape? »

J’ai commencé à faire un peu d’introspection. Je me suis demandé si ce n’était pas là un signal qui m’indiquait que c’était peut-être le bon moment pour moi de réfléchir à la suite des événements. Je me suis rendu compte que c’était le bon moment pour opérer une transition. J’avais l’impression que si je restais dans un environnement d’entreprise, je passerais à côté de quelque chose et je ne serais plus en phase avec la façon dont le monde évoluait.

J’ai donc pensé qu’il s’agissait d’une occasion en or. Je vais m’entraîner à être un coach de retraite avec mes clients qui ont été des cadres supérieurs et avec qui j’ai travaillé tout au long de leur carrière, et cela s’est très bien passé. J’ai l’impression que j’ai maintenant une nouvelle voie et un moyen de continuer à apporter mon aide en me servant de ce que j’ai appris au fil du temps et j’espère que ce processus me permettra de continuer à suivre mes objectifs et de vieillir heureux.

Leanne Kaufman :

Cela semble être une évolution très organique et naturelle, mais je suis sûre qu’elle a comporté son lot d’émotions. Et j’imagine qu’il y a aussi beaucoup d’émotions que vous voyez chez ceux que vous coachez pendant la transition. Donnez-nous une idée de certaines des réalités émotionnelles que cette transition apporte.

Shaun Murphy :

C’est tellement vrai, Leanne. Je les divise en deux sections, les positives et les négatives.

Les positives ne surprendront probablement personne.

  • Il y a par exemple la liberté immédiate. La liberté par rapport à la pression, à l’emploi du temps, aux attentes intenses et à la motivation. Ce sentiment de liberté peut être grisant pour certains. Ils se disent : « C’est merveilleux! La retraite est exactement ce que j’espérais. »
  • À cela s’ajoutent d’autres émotions positives comme la gratitude. Les gens se disent : « Quelle carrière j’ai eue! En rétrospective, j’ai accompli les choses que je voulais accomplir. J’ai fait plus que ce que je pensais pouvoir faire. Et j’ai l’impression que mes proches sont également fiers de moi, pour ce que j’ai accompli. J’en suis très reconnaissant. »
  • La troisième émotion serait un sentiment de soulagement. Les responsabilités sont assumées par quelqu’un d’autre. Chaque fois que le téléphone sonne ou que je consulte mes courriels, je n’ai pas à m’inquiéter d’un événement contrariant qui va m’obliger à modifier tout mon emploi du temps pour répondre à la nouvelle priorité. Quel soulagement d’avoir la tranquillité d’esprit de savoir que ce n’est plus de mon ressort!

Voilà pour les émotions positives.

Les émotions négatives sont quelque peu surprenantes. Nombreux sont ceux qui pensent que la retraite sera de belles vacances qui se prolongeront indéfiniment.

  • Par expérience, des gens ont le sentiment d’avoir perdu quelque chose. Une personne m’a dit : « Hier, j’étais le centre de l’attention. Aujourd’hui, je ne suis qu’un vieillard qui promène son chien. » C’était pour lui une déception. Il y a une perte de prestige, une perte de déférence, une perte de stimulation par rapport au poste. Ces postes de cadres exigent beaucoup de nous, et c’est passionnant et exigeant. Ils nous poussent à nous surpasser. Le sentiment de perte est donc très important.
  • Il y a aussi la désorientation. Que dois-je faire à présent? Plus rien ne m’attire. Il n’y a aucun plan stratégique pour m’orienter. Que devrais-je faire? C’est ça la désorientation.
  • On peut également mentionner la solitude, qui est un sentiment plus profond. Soudainement, les jours sont tranquilles. Je n’ai pas d’équipe intelligente et stimulante autour de moi. À qui dois-je parler et de quoi dois-je parler? Comment puis-je rester pertinent?
  • À cela s’ajoute une certaine vulnérabilité. On a l’impression de ne plus avoir le contrôle sur beaucoup de choses. Et cela peut conduire à toutes sortes de réflexions sur la vulnérabilité. Qu’en est-il de ma santé? Qu’en est-il de ma stimulation mentale? Est-ce que je suis sur une pente descendante maintenant?
  • Le sentiment qui surpasse tous les autres, selon moi, c’est le sentiment insidieux de la honte. Ma vie est tellement extraordinaire que je ne devrais pas éprouver ces sentiments négatifs. Les gens ne veulent pas en entendre parler, moi le premier. On finit par se retrouver dans un environnement où le silence s’installe. Maintenant, je n’ai pas le droit de parler de ces autres choses, et cela peut créer un sentiment plus profond de solitude. La situation peut s’avérer compliquée.

Je tiens à souligner que ce n’est pas le cas de tout le monde. La plupart des gens profitent de leur retraite. La plupart des personnes interrogées dans le cadre de sondages disent : « J’aime la retraite. La retraite, c’est génial. C’est très agréable. » Un pourcentage considérable de personnes – et cela semble être lié aux gens qui sont très attachés à leur travail – éprouvent toutefois plus de difficultés que ceux qui disent : « Je suis content de ne plus être là, je n’ai jamais vraiment aimé mon emploi. Cela ne me représentait pas », etc. Vous pouvez voir à quel point cela peut être plus facile. Quand c’est ancré en vous et que vous y consacrez tout votre temps, votre attention, vos facultés intellectuelles, c’est une grande perte, et d’autres émotions négatives surgissent.

Leanne Kaufman :

Je pense que cela ouvre bien la voie à la prochaine question que je souhaite vous poser. Nous savons que nous pouvons désormais vivre 30 ans ou plus à la retraite, entre guillemets, à supposer que cette expression demeure à la mode. Nos amis du MITH lab à Cambridge, au Massachusetts, parlent de la retraite comme d’une tout autre vie d’adulte.

Pour reprendre ce que vous avez dit au sujet des émotions, et en particulier lorsqu’on aime son travail et qu’il fait partie intégrante de son identité, quelle importance accordez-vous à la notion de but, entre guillemets, dans le processus de la retraite?

Shaun Murphy :

J’aborde ce sujet sous l’angle du but et du sens, et ce concept est vraiment primordial à tous les niveaux.

Mon père, un homme sage et heureux, a vécu jusqu’à 95 ans. Il avait l’habitude de dire : « Il faut avoir un but pour se lever le matin. » Je me suis dit que c’était un bon point de départ. Qu’est-ce qui vous motive à bouger? Qu’est-ce qui explique votre dynamisme et votre soif de vie?

Certaines personnes pourraient trouver intéressant le célèbre ouvrage de Viktor Frankl intitulé Découvrir un sens a sa vie. Il y explique que lorsqu’on souffre beaucoup, on peut surmonter ses difficultés si on y trouve un sens. Si on se donne une raison, l’épreuve devient plus facile à supporter. Selon moi, toute action importante, tout effort doit être fondé sur un sens et un but. Sans ces éléments, les résultats ne valent pas grand-chose. Le jeu ne semble pas en valoir la chandelle.

Par opposition à Viktor Frankl, on a souvent pensé que la maxime de Freud relative au principe de plaisir était le facteur déterminant du comportement humain. Il s’avère toutefois qu’un principe de plaisir équivaut, à mon avis, à ne manger que du dessert. Cette tâche devient rapidement fastidieuse. Et ce n’est pas parce qu’il y en a plus que c’est meilleur. Les gens ont besoin de vivre des épreuves et la recherche d’un but est l’une des principales activités, l’une des principales quêtes qui feront que les 30 prochaines années vaudront la peine d’être vécues.

Ce sujet peut sembler impressionnant et ambitieux, mais il peut en fait être motivant et modeste. On peut par exemple se mettre au service de la collectivité locale. Apporter du bonheur à son entourage. L’important n’est pas le but en soi, c’est le fait qu’il s’agisse de votre but, qu’il ait un sens pour vous.

Leanne Kaufman :

Je pense que c’est un excellent conseil. On n’y pense probablement pas beaucoup lorsqu’on planifie sa retraite.

Quels conseils donnez-vous à ces personnes très performantes, souvent très dynamiques et très occupées, qui approchent de ce stade où tout cela pourrait disparaître?

Shaun Murphy :

J’ai plusieurs conseils à leur donner.

Le premier consiste à prendre une pause et à laisser la poussière retomber. On n’est pas obligé d’avoir toutes les réponses tout de suite. Il ne faut pas aborder la situation comme on le fait normalement avec un projet en se disant : « Je vais mener à bien cette tâche et, d’ici un mois, j’aurai planifié le reste de ma vie ». Donnez-vous un peu de temps. Laissez la nouvelle réalité s’installer. Patientez jusqu’à ce que votre cœur, vos émotions et les changements ne soient pas trop bruyants.  

Prenez un temps de réflexion. C’est peut-être le meilleur moment depuis l’adolescence pour donner un nouvel élan à votre vie. C’est une excellente occasion de réfléchir à certaines des choses que vous avez oubliées. Carl Jung disait qu’en vieillissant, les choses que nous avons laissées derrière nous, les désirs, les rêves abandonnés dans notre jeunesse, viennent nous chuchoter à l’oreille dans les dernières années de notre vie. Si seulement nous nous taisions et étions un peu à l’écoute. Un homme que je connais m’a dit : « Avant, j’aimais faire de l’art. Je n’avais pas le temps de m’y mettre, mais maintenant je vais recommencer. » Et c’est devenu si gratifiant. Il a trouvé une forme d’expression émotionnelle si riche dans sa vie qu’il pouvait la partager avec d’autres. Il ne s’est pas considéré comme un artiste dès le départ, mais au fil du temps, il s’est fait à l’idée. Il en est venu à cette idée en prenant un peu de temps pour réfléchir.

Mon autre suggestion est d’impliquer d’autres personnes dans votre quête. Ne laissez pas les membres de votre famille à l’écart, invitez-les à être des parties prenantes. Parlez à votre conjoint et à vos proches de ce que vous vivez. Ne vous laissez pas réduire au silence par ces émotions difficiles. Si vous en faites part aux autres, il se peut qu’ils vous racontent leurs propres difficultés. Cela va de pair avec l’idée de s’entraîner à faire preuve d’ouverture et de s’autoriser à être vulnérable avec les personnes en qui vous avez confiance. Cela favorisera la qualité de vos relations. Cela mettra en avant le sentiment d’être un être humain bienveillant.

Un autre conseil est de prendre soin de sa santé mentale et physique autant que de son patrimoine. Apprenez à gérer le stress. Élargissez votre cercle social. Essayez de nouvelles choses, des choses que vous n’avez jamais faites auparavant, des choses peut-être un peu difficiles ou effrayantes. Et comme le conseillait votre grand-mère, mangez sainement, dormez bien et n’oubliez pas de faire de l’exercice.

C’est à peu près ce que je conseille au début. Bien entendu, au fil des ans, j’ai mis au point des techniques pour améliorer ces conseils et les rendre plus concrets.

Leanne Kaufman :

Ce sont d’excellents conseils pour bien vieillir aussi. En plus de tout ce qui concerne le but à atteindre, je pense qu’il est difficile de parler de vivre pleinement sa vie si l’on ne se sent pas en bonne santé et si l’on n’est pas au mieux de sa forme.

Y a-t-il d’autres tendances ou phénomènes que vous observez et qui vous ont surpris dans le cadre de votre travail avec votre nouvelle clientèle?

Shaun Murphy :

L’une des tendances qui se dégagent est ce que certains appellent le tsunami gris. Les baby-boomers arrivent à cette étape de leur vie. C’est un véritable raz-de-marée de gens qui entrent dans une phase où ils parlent de retraite, mais où la retraite n’est plus ce qu’elle était.

Cette cohorte de baby-boomers, qui a changé tant de conventions sociales au fil des décennies, est en train de changer les définitions de la retraite. Elle remet également en question les notions d’âgisme qui définissent le comportement à adopter à un certain âge. Des gens disaient, par exemple : « Pourquoi n’agissez-vous pas en fonction de votre âge? » Qu’est-ce que cela signifie? Le monde a évolué à cet égard.

On voit apparaître des organisations et des départements universitaires, des groupes de bénévoles, des organes médiatiques comme Zoomer Magazine, Booming Encore, Dr Joe au MIT comme vous l’avez mentionné, et l’Association canadienne des individus retraités – qui est très active – ainsi qu’un grand nombre de boomers sur YouTube qui proposent des suggestions sur ce qu’il faut faire de ces prochaines années. Je pense que ce phénomène ne fera que s’amplifier.

Et puis il y a tant de bons livres à ce sujet. Je tenais à mentionner quelques-uns de mes favoris :

  • How To Retire Happy, Wild and Free par Ernie Zelinksi. Quel bon livre! Cet ouvrage est une véritable source d’inspiration qui traite du sujet avec beaucoup d’humour, même s’il peut sembler difficile. La retraite comporte une connotation de résignation, etc.
  • Il y a aussi Retirement Heaven or Hell de Mike Drak. Il s’agit encore là d’un excellent ouvrage, si pratique et si encourageant.
  • Et le dernier, que j’adore, est How To Retire and Not Die de Gary Sirak. Un titre qui va droit au but.

Le nombre d’aînés dépasse le nombre de jeunes qui sont là pour les soutenir. Nous entrons dans une ère où les personnes âgées doivent être plus indépendantes. On s’attend à ce qu’elles le soient, et elles n’auront d’autre choix que de l’être. L’essor des robots personnels et des compagnons robotiques personnels les aidera à faire face à cette situation. À mon avis, cela va devenir tout à fait normal avec le temps, et je pense que cela va donner un grand élan aux voitures autonomes lorsque les personnes âgées ne se sentiront plus en sécurité sur la route.

Leanne Kaufman :

On assiste déjà à ce phénomène au Japon.

Shaun Murphy :

En effet. C’est très d’actualité.

Leanne Kaufman :

Quel concept intéressant! Je n’en ai pas encore vu beaucoup au Canada, mais je suis certaine que c’est pour bientôt.

Shaun Murphy :

Le mot clé ici, c’est encore.

Leanne Kaufman :

Oui, exactement. C’est très bien. Shaun, ce fut très intéressant de parler avec vous, et je pense que nous pourrions encore approfondir beaucoup de ces sujets. Quel point souhaiteriez-vous que nos auditeurs retiennent de notre conversation d’aujourd’hui?

Shaun Murphy :

L’une de mes citations préférées provient de Yogi Berra, qui a dit : « L’avenir n’est plus ce qu’il était ». Aujourd’hui, moi je dis : « La retraite n’est plus ce qu’elle était. Qu’allez-vous en faire? »

Leanne Kaufman :

C’est une excellente question, et nous devons aborder la question sous un angle différent.

Merci beaucoup, Shaun, de vous être joint à moi aujourd’hui pour parler de l’épanouissement à la retraite, de la façon de l’envisager différemment, du fait qu’elle n’est plus ce qu’elle était, et des raisons pour lesquelles tout cela est important au-delà de la richesse.

Shaun Murphy :

Merci, Leanne.

Leanne Kaufman :

Vous pouvez en savoir plus sur Shaun Murphy à l’adresse sdmurphy.com ou sur LinkedIn.

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Je m’appelle Leanne Kaufman, et je vous dis à la prochaine fois. Merci de vous être joints à nous.

Orateur final :

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