26 mars 2025 | Animée par Tony Maiorino
Les impôts peuvent réduire considérablement le revenu de retraite. Découvrez des stratégies de planification fiscale pour optimiser vos revenus de retraite.
« Je dirais que l’une des meilleures façons de se préparer à de tels risques et défis est de préparer son plan de retraite, en effectuant une planification financière avec un professionnel ayant accès à une équipe de spécialistes. »
Tony Maiorino :
Les retraités veulent tirer le meilleur parti possible de leurs économies. Les coûts augmentent, nous visons plus longtemps et les marchés sont imprévisibles. Si plusieurs privilégient la budgétisation et la réduction des dépenses, le rendement des placements et les impôts, qui réduisent les revenus de retraite, sont négligés. Il existe cependant de nombreuses façons de réduire le fardeau fiscal et de conserver plus d’argent pour combler ses besoins. Il faut donc apprendre à optimiser le rendement des revenus de retraite et à réduire les impôts inutiles. Mon nom est Tony Maiorino, et je vous souhaite la bienvenue au balado Au-delà de la richesse de RBC Gestion de patrimoine – Canada. Je suis accompagné aujourd’hui de Prashant Patel, vice-président, Services de planification, Clientèle fortunée, Services de bureau de gestion familiale RBC. Prashant travaille aux côtés de familles fortunées sur des questions touchant la fiscalité, les successions et la retraite depuis plus de 30 ans. Merci de vous joindre à moi pour discuter de la façon de gérer ses revenus de retraite, en soulignant pourquoi cela importe au-delà de la richesse.
Prashant Patel :
Merci, Tony. Je suis ravi d’être ici.
Avant d’examiner certaines stratégies spécifiques, j’aimerais savoir quels sont les problèmes auxquels sont confrontés les retraités, s’agissant de maintenir leur niveau de vie. Je sais que vous travaillez avec de nombreuses familles. Est-ce la hausse des coûts, l’incertitude du marché ou autre chose ?
Excellente question. La hausse des coûts, de même que l’incertitude et la volatilité des marchés, sont deux des plus grands enjeux auxquels sont aujourd’hui confrontés les retraités dans leur phase de désaccumulation. Il y a aussi d’autres aspects, comme la possibilité d’une longue période de taux d’intérêt peu élevés, ce qui aurait une incidence sur le rendement des titres à revenu fixe de nos retraités. Qu’en est-il des frais médicaux plus élevés que prévu ? Sans compter le fait que nous vivons plus longtemps que jadis. Enfin, de nombreux parents souhaitent donner un coup de main à leurs enfants, de leur vivant. Ils veulent les aider en leur offrant des cadeaux, comme pour effectuer la mise de fond en vue de l’achat d’une maison, pour défrayer les frais du mariage, lancer une entreprise, etc.
Avec un peu de recul, je dirais que l’une des meilleures façons de se préparer à de tels risques et défis est de préparer son plan de retraite, en effectuant une planification financière avec un professionnel ayant accès à une équipe de spécialistes. Un plan financier ou des prévisions financières peuvent vous aider à modéliser vos sources de revenu et vos placements dans des actifs qui vous permettront de toucher un revenu de retraite après que vous ayez cessé de toucher un salaire. Un plan financier établit généralement un scénario de base fondé sur votre patrimoine actuel, vos revenus et dépenses prévus, ainsi que sur des hypothèses en matière d’inflation et de rendement des placements.
L’un des avantages de tout plan financier est qu’il permet de soumettre le scénario de base à une analyse de sensibilité faisant intervenir certains de ces défis potentiels propres à la retraite. Un scénario de rechange pourrait ainsi permettre de voir ce qu’il adviendrait si vos dépenses devaient augmenter de 25 % ou si vos rendements de placement devaient demeurer longtemps inférieurs aux prévisions. Qu’en est-il si vous deviez vivre jusqu’à 100 ans ? Sachez qu’au Canada vivent aujourd’hui plus de 12 000 centenaires : c’est le segment de la population qui croît le plus rapidement. Voilà qui est assez incroyable. En modifiant certaines de ces hypothèses et en élaborant des scénarios de rechange, vous pouvez observer leur impact sur votre capacité à maintenir votre niveau de vie à la retraite et apporter des modifications, au besoin.
J’aime cet aspect de la planification financière car je pense que beaucoup de gens connaissent la planification de la retraite. Ils établissent leur plan financier pour comprendre comment atteindre la retraite, mais trop peu de gens savent que la planification financière à la retraite importe aussi beaucoup. De nombreux retraités sont surpris, lorsqu’ils engagent ce processus, de constater que leur facture d’impôt à la retraite est plus élevée que prévu, et ce, même s’ils ne touchent plus de salaire. Différentes sources de revenu sont imposées différemment, que les revenus proviennent d’un REER ou d’un FERR… Quelles sont certaines des considérations en matière fiscale que devraient connaître les retraités canadiens ?
Les sources de revenus habituelles, soit les REER, les FERR, les régimes de retraite et les intérêts sont imposables au taux marginal d’imposition, sans régime fiscal préférentiel, comme c’est le cas des gains en capital ou du revenu de dividendes canadiens. De plus, à la retraite, comme vous ne cotisez pas à un REER, vos déductions fiscales seront sans doute moindres et tous vos revenus seront imposables. Enfin, si votre revenu net annuel dépasse les 93 000 $, vos prestations de la Sécurité de la vieillesse commencent à être récupérées. Les retraités doivent aussi savoir que, s’ils ont des revenus de placement importants à la retraite, outre ceux de leur REER et de leur CELI, ils peuvent devoir faire des acomptes provisionnels trimestriels puisque les revenus de placement ne sont pas imposables à la source. Voilà une surprise pour de nombreux retraités qui n’auront jamais été tenus d’effectuer des acomptes provisionnels trimestriels à l’Agence du revenu du Canada (ARC) durant leur vie active, leur revenu étant principalement sous forme de salaire et assorti de retenues à la source.
Benjamin Franklin disait qu’en ce monde rien n’est certain, hormis la mort et les impôts. Il demeure néanmoins possible de minimiser le fardeau fiscal. Quelles sont certaines des stratégies fiscales judicieuses que vous recommanderiez aux retraités ?
L’une des stratégies les plus populaires, le fractionnement du revenu avec son conjoint, peut permettre de réduire considérablement les impôts à la retraite.
Voilà qui est très intéressant. Pourriez-vous nous donner un exemple détaillé des économies d’impôt auxquelles vous faites référence ?
Prenons le cas d’un couple qui souhaite disposer d’un revenu de retraite avant impôt de 200 000 $. Si l’ensemble de cette somme est imposé au nom d’un seul des conjoints, la facture fiscale est d’environ 65 000 $, ce chiffre variant d’une province à l’autre. Cependant, si le couple devait fractionner son revenu et répartir ces 200 000 $ à parts égales entre les deux conjoints, chaque conjoint gagnant alors 100 000 $, la facture fiscale combinée passerait à 40 000 $ puisque chacun des conjoints pourrait tirer parti de son propre régime d’imposition progressive. Voilà qui représente une économie d’impôt annuelle de 25 000 $. Il faut cependant tenir compte des règles d’attribution du revenu au conjoint, qui peuvent empêcher le fractionnement du revenu. Il convient donc, en cette matière, de consulter un conseiller fiscal qualifié. De surcroît, les chiffres avancés tiennent pour acquis que tous les revenus sont imposés aux taux marginaux, comme c’est le cas des revenus d’intérêts qui sont dépourvus d’avantage fiscal.
Si vous aviez des placements en dehors de votre REER ou de votre FERR, une autre façon de réduire l’impôt à la retraite consiste à toucher des dividendes de sociétés ouvertes canadiennes et des gains en capital, puisque ce type de revenu est moins imposé que le sont les revenus de retraite habituels, comme les intérêts, les dividendes de sociétés étrangères, les retraites et les retraits de FERR. Reprenons mon exemple : supposons que les deux conjoints ont chacun un revenu de 100 000 $, l’ensemble de leurs revenus provenant cette fois de dividendes de sociétés ouvertes canadiennes, la facture annuelle totale passerait de 40 000 $ à 18 000 $, ce qui représente une économie d’impôt considérable. Il convient cependant noter que les placements générant des dividendes ou des gains en capital canadiens sont plus risqués que les placements à revenu fixe plus prudents générant des intérêts. Il faut donc tenir compte de cet aspect avec votre conseiller en placement selon votre propre tolérance au risque.
Voilà un point très important : il ne faut pas simplement s’arrêter aux considérations fiscales, non plus qu’exclusivement aux coûts ou au rendement. C’est la prise en compte de tous ces éléments qui peut contribuer à améliorer votre situation. Le fractionnement du revenu semble donc être une excellente idée. Pourrions-nous considérer le cas d’un couple qui touche un revenu de pension et voir en quoi le fractionnement du revenu leur profiterait alors ?
Le fractionnement du revenu de pension permet de réduire l’impôt à la retraite. Les règles d’attribution au conjoint ne s’appliquent pas au fractionnement du revenu de pension. Il y a trois façons de fractionner le revenu de pension. Si vous recevez d’un employeur une rente provenant d’un régime à prestations déterminées, vous pouvez la partager à hauteur de 50 % avec votre conjoint, quel que soit votre âge. Si vous touchez un revenu issu d’un FERR ou d’un FRV, vous pouvez le partager avec votre conjoint mais vous devez avoir au moins 65 ans. Les retraits d’un REER visant une personne âgée de 65 ans ou plus ne sont pas admissibles au fractionnement du revenu. Ces revenus doivent provenir d’un FERR ou d’un FRV. Si vous et votre conjoint avez au moins 60 ans et si vous touchez des prestations du RPC ou du RRQ, vous pouvez partager jusqu’à 50 % de ces prestations, selon votre nombre d’années de vie commune. Le fractionnement de votre régime de retraite d’employeur et des versements au titre du FERR ou du FRV se fait automatiquement sur vos déclarations de revenu tandis que vous devez le demander dans le cas des sommes versées au titre du RPC/RRQ.
Passons à un autre sujet. J’aimerais parler quelques instants du CELI. Certains retraités ne savent peut-être pas qu’ils peuvent encore y cotiser après la retraite. Pourriez-vous nous aider à comprendre en quoi un CELI peut être utilisé efficacement dans le cadre d’une stratégie de retraite ? Il me semble que cela est intéressant et qu’un nombre insuffisant de gens considèrent cette avenue.
Le CELI jouit d’une grande popularité. À la retraite, vous pouvez continuer à y cotiser jusqu’à votre limite de cotisation sans limite d’âge fixée à 71 ans, comme c’est le cas pour le REER. Vous pouvez y cotiser toute votre vie durant. Si les cotisations au CELI ne sont pas déductibles d’impôt, tous les revenus et les gains en capital générés par celui-ci fructifient à l’abri de l’impôt. Et, bien sûr, tout retrait d’un CELI est également libre d’impôt. Ainsi, si vous disposez de liquidités excédentaires, les sommes ainsi contribuées à votre CELI tous les ans durant votre retraite continueront à maximiser votre croissance à l’abri de l’impôt. De plus, les retraits de votre CELI à la retraite n’auront aucune incidence sur les prestations gouvernementales fondées sur le revenu, comme c’est le cas de la Sécurité de la vieillesse, du Supplément de revenu garanti ou du crédit en raison de l’âge.
Formidable. Supposons que je suis à la retraite. J’ai fait ma planification et je constate que j’ai un excédent. Je dispose de plus d’argent que nécessaire pour atteindre les objectifs que je me suis fixés pour moi-même et mon partenaire à la retraite. Devrais-je investir cet excédent ? Devrais-je faire un don à ma famille ? Devrais-je envisager d’autres moyens de minimiser l’impôt sur ces sommes à l’avenir ? Selon mes objectifs, quels sont certains des outils que vous recommanderiez à une personne qui se retrouverait dans cette situation, soit qu’elle dispose d’un excédent, pour l’aider à profiter d’une meilleure retraite ?
Vous savez, outre le fait de maximiser les cotisations au CELI, il y a quelques idées et concepts intéressants. De plus en plus de personnes qui disposent de fonds excédentaires versent ces fonds dans une assurance vie permanente exonérée d’impôt, comme une assurance vie entière ou universelle, ce qui constitue alors une autre catégorie d’actif de leur portefeuille de placement. Ces polices comportent un volet d’assurance et un volet de placement, et tous les revenus y fructifient à l’abri de l’impôt, la totalité du capital-décès étant exonéré d’impôt.
Revenons à ce concept de plan financier qui peut vous aider à déterminer si vous disposerez probablement d’un excédent de fonds. Ces fonds ne seront pas dépensés de votre vivant, mais plutôt transférés à vos bénéficiaires, comme à vos enfants. Et si tel est le cas, il pourrait ne pas être judicieux d’exposer cet excédent à des taux élevés d’imposition durant toute votre vie. C’est à cet égard que la solution de l’assurance devient intéressante. Une autre option intéressante sur le plan fiscal, à cet égard, consiste à faire un don directement à une œuvre de bienfaisance ou à votre propre fondation de votre vivant. Le concept de fondation de bienfaisance a connu une certaine popularité au cours de ces dernières années, et RBC Gestion de patrimoine offre la possibilité de créer une fondation clé en main, soit un fonds orienté par le donateur, sans frais de création, avec un don initial minimal de 25 000 $.
Du point de vue fiscal, le crédit d’impôt pour don peut être utilisé l’année en cours ou les cinq années suivantes. Il est aussi devenu très courant de faire don en nature de titres négociés sur le marché qui sont en position de gain directement à un organisme de bienfaisance, voire à votre propre fondation, plutôt que de faire un don en espèces puisque la plus-value sur les titres donnés en nature est alors exonérée d’impôt. Vous recevez aussi un reçu d’impôt pour don égal à la juste valeur marchande des titres.
Merci. Voilà d’excellentes stratégies qui méritent d’être prises en considération. Nous avons abordé beaucoup de sujets aujourd’hui et certaines de vos recommandations sont assez complexes. Si vous souhaitiez que les personnes qui nous écoutent ne retiennent qu’une seule chose de notre entretien d’aujourd’hui, de quoi s’agirait-il ? Qu’aimeriez-vous qu’elles retiennent ?
La planification de la retraite est un sujet complexe qui présente un certain nombre de défis potentiels. Je me permettrai de vous proposer trois points. D’une part, je pense qu’il est important de collaborer avec un professionnel apte à offrir des services de planification financière et de la retraite. Comme je l’ai déjà dit, il faut tout d’abord préparer un plan financier ou des prévisions financières exhaustifs et un scénario de base. Les scénarios de rechange évoqués plus tôt peuvent ensuite faire l’objet d’une analyse de sensibilité. D’autre part, toutes les formes et sources de revenu ne s’équivalent pas puisqu’elles font l’objet d’un traitement fiscal et de considérations en matière de planification fiscale différents. Qu’il suffise de penser aux nombreuses sources différentes, soit les versements de FERR, les CELI, les retraites, les rentes viagères, le RPC, les revenus d’intérêts, les gains en capital, les dividendes, etc. Il faut donc bien comprendre cela et collaborer avec un conseiller qualifié pour vous y retrouver et bien comprendre comment tirer efficacement parti de ces différentes sources de revenu pour combler vos objectifs en matière de retraite de la façon la plus fiscalement avantageuse. Enfin, il faut faire preuve d’ouverture d’esprit à l’égard des différents concepts et stratégies uniques qui pourraient permettre de rehausser votre revenu à la retraite, de réduire les impôts et de transmettre votre patrimoine à la prochaine génération d’une manière fiscalement éclairée. À cet égard peuvent intervenir des stratégies comme le fractionnement du revenu familial, l’utilisation de l’assurance-vie comme catégorie d’actif supplémentaire – alors que la plupart des gens ne pensent pas à l’assurance-vie de cette façon –, en plus de créer une fondation de bienfaisance pour laisser un héritage durable. Quoi qu’il advienne, il est prudent d’examiner ces stratégies, d’en comprendre les avantages et les inconvénients et d’en faire un bilan, pour prendre une décision éclairée.
Merci beaucoup, Prashant. Merci des conseils que vous nous avez donnés pour nous aider à tirer le meilleur parti possible de notre revenu de retraite tout en réduisant les coûts fiscaux inutiles, en soulignant en quoi cela importe au-delà de la richesse.
Merci, Tony.
Apprenez-en plus sur Prashant Patel et les stratégies dont nous avons parlé aujourd’hui à rbcwealthmanagement.com. Si vous avez aimé cet épisode et souhaitez appuyer notre balado, parlez-en à d’autres ou sur les médias sociaux, ou encore donnez une note et rédigez-en une critique.
Mon nom est Tony Maiorino. J’ai hâte de vous retrouver. Merci d’avoir été des nôtres.
Conclusion du présentateur :
Qu’il s’agisse de planifier votre succession ou les besoins de votre famille ou de votre entreprise, ou de bien remplir votre rôle d’exécuteur testamentaire (appelé liquidateur au Québec) de la succession d’un être cher, nous pouvons vous guider, aplanir les difficultés et soutenir votre vision. Faites équipe avec RBC Trust Royal afin que les générations futures profitent longtemps de votre legs. Laissez un héritage, pas un fardeau.MC Visitez le site rbc.com/royaltrust.
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