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Dons
Au-delà de la richesse

Il existe plusieurs façons de faire un don ayant un impact réel et durable, immédiat et futur.

« Il est facile de faire des dons, mais il faut du temps et de la volonté pour générer des retombées. Il ne faut surtout pas hésiter à demander de l’aide. »
Kim Plewes, Spécialiste, Services-conseils Philanthropiques, RBC Gestion de Patrimoine

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Transcript

Orateur initial :

Bonjour, et bienvenue à Au-delà de la richesse avec votre animatrice, Leanne Kaufman, présidente et cheffe de la direction de RBC Trust Royal. Pour la plupart d’entre nous, parler de sujets comme le vieillissement, la fin de la vie et la planification successorale n’est pas facile. C’est pourquoi nous leur consacrons ce balado qui vous donne l’occasion d’en entendre parler tout en profitant des grandes connaissances de certains des meilleurs experts dans le domaine au pays. Aujourd’hui, nous voulons vous fournir des renseignements qui vous aideront à vous protéger, vous et votre famille, dans le futur. Voici votre animatrice, Leanne Kaufman.

Leanne Kaufman :

Bonjour, je suis Leanne Kaufman. Bienvenue à Au-delà de la richesse. Deux merveilleux invités se joignent à moi aujourd’hui pour discuter d’un sujet très important, soit les dons de bienfaisance et la philanthropie. Accueillons Paul Nazareth, vice-président, Formation et développement, Association canadienne des professionnels en dons planifiés, et Kim Plewes, spécialiste, Services-conseils philanthropiques, RBC Gestion de patrimoine.

M. Nazareth travaille dans le secteur philanthropique canadien depuis plus de 20 ans. Il siège au conseil d’administration de plusieurs organismes de bienfaisance et au conseil consultatif du programme de maîtrise en philanthropie et en leadership d’organismes sans but lucratif de l’Université Carleton. Il est également maître conseiller financier au programme de philanthropie et est fréquemment invité à donner des cours au sein de la communauté des fiscalistes et des conseillers auprès d’organismes comme CPA, Advocis et Estate Planning Council. De plus, il contribue à diverses publications sur la philanthropie et est souvent invité à la radio et à la télévision nationales pour parler de la constitution d’un héritage grâce à des dons éclairés et généreux.

Mme Plewes a travaillé pendant plus de 15 ans dans le secteur des organismes de bienfaisance. Elle a aidé de nombreuses familles partout en Amérique du Nord pour les aider à élaborer des stratégies personnalisées qui correspondent à leurs objectifs de dons de bienfaisance. Grâce à cette perspective unique sur le recoupement entre la planification des dons de bienfaisance et la collecte de fonds pour les dons importants, Mme Plewes fournit des conseils stratégiques éclairés à ses collègues de RBC. Ceux-ci en tirent parti pour aider leurs clients dans l’élaboration de plans en matière de dons de bienfaisance et d’héritage dans le cadre de la planification de la gestion de leur patrimoine.

M. Nazareth et Mme Plewes, merci d’être avec nous aujourd’hui pour parler des dons de bienfaisance des héritages, ainsi que de l’importance qu’ils revêtent au-delà de la richesse.

Kim Plewes :

Merci de nous recevoir, Mme Kaufman.

Paul Nazareth :

Merci. C’est un plaisir d’être ici.

Leanne Kaufman :

Mme Plewes, commençons avec vous. Pourquoi les clients auxquels vous offrez des conseils et avec lesquels vous discutez choisissent-ils d’inclure la philanthropie ou les dons de bienfaisance dans leur planification globale de patrimoine ?

Kim Plewes :

Excellente question. D’abord et avant tout, si le client n’est pas ouvert à faire de dons, les conversations sur les dons de bienfaisance ne revêtent aucune importance. Il n’a pas besoin d’avoir déjà fait de dons ou du bénévolat, ou bien de s’être impliqué auprès de l’organisme dans le passé. Ils n’ont besoin que d’avoir le désir de le faire. Selon moi, la raison principale pour laquelle les personnes choisissent de faire affaire avec les conseillers de mon équipe est parce qu’ils ont la volonté de faire des dons et de faire preuve de proactivité. Certains clients ont déjà apporté leur soutien à des organismes de bienfaisance dans le passé, mais ils ont été incités à le faire par leurs amis, leurs collègues ou les organismes eux-mêmes. Ils n’ont pas beaucoup réfléchi aux retombées qu’ils souhaitent générer, et ils cherchent de l’aide à ce propos.

Leanne Kaufman :

Voilà une bonne entrée en la matière ! Passons à vous, M. Nazareth. Quels sont les types d’instruments ou de plans les plus utilisés au Canada pour atteindre ces objectifs de dons de bienfaisance ?

Paul Nazareth :

Vous avez mis le doigt sur le mot clé ici. La question à se poser est « quels sont les types d’instruments les plus utilisés ? » et non « quels sont ceux qui devraient être utilisés ? ». Nous ne le disons pas assez souvent : le Canada dispose de l’un des meilleurs systèmes de crédits d’impôt pour don de bienfaisance de l’Occident. Beaucoup de possibilités s’offrent à nous : les legs, qui sont très populaires aux États-Unis, les dons tels que les titres négociés sur le marché, qui permettent de réaliser des gains en capital, les fiducies, les assurances, etc. L’un des plus grands bémols des instruments les plus courants est, comme l’a dit Mme Plewes, que la plupart des personnes font des dons parce qu’elles ont été incitées à le faire. Les instruments les plus populaires sont souvent utilisés parce que les gens planifient avec les organismes de bienfaisance plutôt qu’avec un conseiller. Ils devraient plutôt recourir à un conseiller.

Leanne Kaufman :

Parlez-moi davantage de ces options. M. Nazareth ou Mme Plewes, si quelqu’un est complètement nouveau dans le monde des dons de bienfaisance, ils peuvent, eh bien, obtenir un chéquier, quoique cette option me semble un peu archaïque… disons plutôt qu’ils peuvent faire un don en ligne. Quelles sont les autres options ? Bien des personnes ne savent peut-être même pas qu’ils peuvent prévoir des dons à des organismes de bienfaisance dans leur testament ou d’autres instruments. Pouvez-vous nous expliquer rapidement ces autres instruments ?

Paul Nazareth :

Je me propose pour les expliquer. Après tout, je suis souvent amené à le faire dans le cadre de mes fonctions. Commençons par les options qui s’offrent à nous en cours de vie, comme les titres négociés sur le marché, puis poursuivons avec les options comme les dons d’assurance vie et la planification par l’entremise de fiducies. Beaucoup de Canadiens oublient les dons d’actifs ou en nature. Nombreux sont ceux qui possèdent des collections d’œuvres d’art et différentes propriétés, ou même des terrains à léguer. Des actifs aux terrains, il existe une panoplie de biens à léguer. Il y a beaucoup d’instruments en matière de planification, comme les assurances ou les fiducies. Encore une fois, en raison de cette multitude d’options, nombreux sont ceux qui choisissent par défaut les options les plus simples. Voilà donc la difficulté. Les personnes sont touchées par la paralysie du choix.

Leanne Kaufman :

Oui, bon point.

Kim Plewes :

Permettez-moi de poursuivre sur cette lancée. Je pense que beaucoup de personnes ayant la volonté de faire des dons et de faire preuve de proactivité, particulièrement en cas d’un événement générateur de liquidité, croient qu’il est préférable d’établir leur propre fondation privée, à laquelle ils donnent un nom, comme beaucoup de philanthropes canadiens riches et célèbres le font. Il existe d’autres instruments, comme les fonds orientés par le donateur, qui permettent aux personnes de distribuer des fonds ultérieurement à la date à laquelle ils reçoivent les reçus fiscaux. Ils peuvent ainsi décider à un autre moment des organismes de bienfaisance qu’ils souhaitent soutenir. Il s’agit donc d’un excellent instrument de planification en cas d’un événement générateur de liquidité. Il est donc judicieux de discuter avec un conseiller avant de prendre de telles décisions.

Leanne Kaufman :

L’un des événements générateurs de liquidités les plus courants est, par exemple, la vente d’une entreprise, à la suite de laquelle il y a soudainement beaucoup de liquidités ou d’actifs disponibles. Le tout est très complexe, et c’est pourquoi nous parlerons dans une minute de l’importance d’avoir recours à l’expertise d’un conseiller. Mais avant, certains ont tendance à penser que la planification successorale, et même les dons de bienfaisance, ne sont réservés qu’aux Canadiens âgés. Une étude menée par la firme Ipsos et commandée par RBC Trust Royal montre toutefois que 53 % des Canadiens de moins de 35 ans souhaitent inclure des dons de bienfaisance à leur planification successorale. Ce pourcentage n’est que de 13 % chez les Canadiens de plus de 55 ans. J’aurais pourtant supposé le contraire. M. Nazareth, étant donné votre vaste expérience, êtes-vous surpris par ces données ?

Paul Nazareth :

Oui, je suis surpris. Ces données sont très intéressantes et révélatrices de l’attitude des personnes à l’égard des dons de bienfaisance. Nous savons d’ailleurs que les Canadiens âgés se préoccupent de la répartition de leur patrimoine entre leur famille et leurs héritiers, ce qui témoigne encore une fois de l’importance de la planification successorale. Il semble toutefois qu’un grand nombre de jeunes Canadiens ne songent pas à faire des dons de bienfaisance, tout particulièrement durant la période où ils fondent une famille ou une entreprise. J’y vois un tout nouveau groupe démographique avec qui les conseillers devraient discuter de dons de bienfaisance et de valeurs.

Leanne Kaufman :

Oui, je suis d’accord. Je crois, en ne m’appuyant sur rien en particulier, que les jeunes ressentent peut-être la responsabilité de laisser une empreinte sociale positive. Mme Plewes, j’aimerais connaître votre point de vue. Avez-vous remarqué des changements dans les intentions et les objectifs de bienfaisance des Canadiens au cours des dernières années, peut-être même depuis la pandémie ?

Kim Plewes :

Oui, tout à fait. Je pense que la pandémie a amené chacun d’entre nous à prendre un moment pour réfléchir, en particulier ceux dont le travail les faisait beaucoup voyager ou ceux qui ont des enfants. Comme nous étions coincés chez nous les fins de semaine ou durant des périodes intermittentes, les moments ininterrompus nous ont forcés à réfléchir à notre propre mortalité. Nous qualifions désormais la pandémie de « moment sans précédent ». Elle nous a poussés à prendre un moment de réflexion et à revoir nos priorités. Quelles sont les valeurs les plus importantes que je veux transmettre à mes enfants, à mes petits-enfants, à mes neveux, etc. ? Quels sont les fondements que je souhaite insuffler à mes enfants ou à ma collectivité ?

De ce fait, de plus en plus de personnes revoient leur testament et la façon dont leur argent sera réparti. Certaines personnes choisissent même de vendre leur entreprise pour avoir plus de temps et pour se concentrer sur les dons de bienfaisance plutôt que de le faire après la retraite. Il s’agit donc d’un excellent moment pour aider les personnes à intégrer les dons de charité à leur plan dès maintenant et d’en faire une expérience multigénérationnelle.

Leanne Kaufman :

Nous avons déjà parlé de la complexité de ce type de planification qui est assez technique, en particulier en raison de toutes les règles fiscales, et il faut s’assurer de ne pas commettre d’erreur. M. Nazareth, votre rôle est principalement axé sur l’éducation. Que pensez-vous de l’importance de faire affaire avec un professionnel qui possède une expertise dans le domaine ?

Paul Nazareth :

L’organisme que je représente, l’Association canadienne des professionnels en dons planifiés, a été fondée pour établir des liens entre la collecte de fonds philanthropique, la fiscalité et la planification successorale. La raison d’être et la planification sont essentielles et importantes. Encore une fois, nombreux sont ceux qui font des dons parce qu’on leur a demandé de le faire. L’univers des dons est énorme. Cette méthode est peut-être la plus efficace sur le plan émotionnel, mais est-ce la plus efficace sur le plan financier, fiscal et successoral ? L’Association canadienne des professionnels en dons planifiés a été fondée il y a 30 ans, et nous rappelons maintenant aux gens que chaque conseiller est différent. Encore une fois, si vous souhaitez donner des titres négociés sur le marché, vous devez discuter avec un conseiller fiscal et financier compétent. Quand il est question de legs ou de planification par l’entremise de fiducies, comme Mme Plewes l’a mentionné, les fonds orientés par le donateur sont formidables. Ils offrent de la souplesse et, encore une fois, forment un lien entre la finance, la planification fiscale, la planification successorale et plus encore.

Il est important de faire affaire avec un conseiller qui comprend ces instruments et vos besoins en matière de planification. Mme Plewes a donné le parfait exemple de la vente d’une entreprise. Actuellement, de nombreux ménages des Prairies lèguent des terrains et des fermes, entre autres. La planification est primordiale. En fait, plus votre patrimoine est grand, plus la planification est importante pour décider du moment des dons et réfléchir à la façon dont ces fonds seront utilisés. Un large éventail de véhicules de planification est offert, comme des titres, des instruments assortis d’avantages fiscaux, les fonds orientés par le donateur et les fondations. De ce fait, le contexte n’a jamais été aussi favorable pour aider les Canadiens à établir un plan très intéressant adapté aux besoins qu’ils ressentent dans leur tête et dans leur cœur, et les aider à fixer la répartition de leur argent.

Leanne Kaufman :

Très bien dit. Mme Plewes, dans le cadre de vos fonctions à RBC, vous travaillez avec les clients et leurs conseillers en services financiers ou en placement pour discuter de la façon dont ils peuvent structurer leur propre situation. D’après votre expérience antérieure à RBC et depuis que vous êtes entrée au service de RBC, quelle importance accordez-vous à la planification dans ces discussions ?

Kim Plewes :

Je pense que la planification est primordiale pour ceux qui, encore une fois, ne souhaitent plus se contenter de faire des dons aux mêmes organismes de bienfaisance qu’ils ont toujours soutenus ou de faire des dons au 1 % d’organismes de bienfaisance qui reçoivent 66 % des dons, mais plutôt à ceux qui soutiennent une cause qui leur tient à cœur. La planification est essentielle à l’établissement d’un énoncé de mission pour définir l’empreinte qu’ils souhaitent laisser et choisir les organismes de bienfaisance auxquels ils veulent donner. Le Canada compte plus de 86 000 organismes de bienfaisance. Nous avons l’embarras du choix, ce qui peut mener à la paralysie du choix, comme l’a dit M. Nazareth. Si vous avez une idée claire de l’empreinte que vous voulez laisser, il sera plus facile de sélectionner les organismes à qui vous voulez distribuer des fonds. Vous pouvez les aider à soutenir les causes qui vous tiennent à cœur et à transmettre les valeurs qui vous guident.

L’équipe Services-conseils philanthropiques, qui ne représente qu’une petite partie des services offerts au pays par RBC Gestion de patrimoine, est là pour vous aider à définir votre mission grâce à des outils, à des ressources et à des rencontres. Nous rendons la planification des dons de bienfaisance simple et facile à gérer. Vous serez fier d’en discuter avec vos êtres chers, votre famille et votre collectivité.

Leanne Kaufman :

Vous possédez tous les deux une grande expertise dans le domaine. Nous pourrions vous écouter parler pendant des heures et apprendre tant de choses. Pour finir et en quelques phrases seulement, si nos auditeurs ne devaient retenir qu’une chose de notre conversation, quelle serait-elle ? M. Nazareth ?

Paul Nazareth :

Cette question est très importante pour moi, car les Canadiens sont nombreux à se soucier de leur collectivité et des organismes. Cependant, une grande partie de cette planification n’est encore qu’au stade d’idée, mais peut devenir réalité. Prenez le temps de communiquer avec un conseiller. Nous avons discuté d’aspects techniques, de fiscalité, d’assurance, de titres et plus encore. Mme Plewes et son équipe sont là pour faciliter cette conversation. Les conseillers peuvent vous aider à allier les idées de planification que vous avez en tête aux valeurs de votre cœur, ainsi qu’à optimiser l’efficacité et la portée de vos dons. De plus, votre satisfaction à l’égard des actions que vous posez aujourd’hui et poserez demain augmentera, et ce, pour toujours.

Leanne Kaufman :

Et vous, Mme Plewes ? Qu’est-ce que nos auditeurs devraient retenir de notre conversation ?

Kim Plewes :

Qu’il est facile de faire des dons, mais qu’il faut du temps et de la volonté pour générer des retombées. Il ne faut surtout pas hésiter à demander de l’aide.

Leanne Kaufman :

Bien dit, tous les deux. Je vous remercie sincèrement de vous être joints à moi aujourd’hui afin de présenter et de démystifier le monde parfois complexe des dons de bienfaisance et les aspects de la planification. Merci aussi d’avoir discuté des raisons pour lesquelles la planification philanthropique est importante au-delà de la richesse.

Kim Plewes :

Merci beaucoup de nous avoir reçus, Mme Kaufman. Notre conversation a été des plus intéressantes !

Paul Nazareth :

Oui, en effet. C’est très gentil.

Leanne Kaufman :

Pour en savoir plus sur M. Nazareth, visitez sa page Twitter sous le pseudonyme @UinvitedU ou son profil LinkedIn, Paul Nazareth. Vous pouvez trouver Mme Plewes sur LinkedIn en cherchant Kim Plewes ou demander à votre conseiller RBC Gestion de patrimoine de vous mettre en contact avec elle. À la prochaine ! Je suis Leanne Kaufman. Merci de nous avoir écoutés.

Orateur final :

Qu’il s’agisse de planifier votre succession ou les besoins de votre famille ou de votre entreprise, ou de bien remplir votre rôle d’exécuteur testamentaire (appelé liquidateur au Québec) de la succession d’un être cher, nous pouvons vous guider, aplanir les difficultés et soutenir votre vision. Faites équipe avec RBC Trust Royal afin que les générations futures profitent longtemps de votre legs. Laissez un héritage, pas un fardeau MC. Allez à rbc.com/trustroyal. Merci d’avoir suivi cet épisode d’Au-delà de la richesse. Pour en savoir plus sur RBC Trust Royal, veuillez visiter notre site à rbc.com/trustroyal.

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Ce balado est fourni à titre indicatif seulement et ne vise pas à donner des conseils ni à approuver ou à recommander un contenu ou des tiers qui y sont mentionnés. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particulière. Les renseignements présentés sont réputés être factuels et à jour, mais leur exactitude n’est pas garantie et ils ne doivent pas être considérés comme une analyse exhaustive du sujet abordé.

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